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Toute l'actualité Dacia

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Billet d'humeur

Quand Carlos Tavares contredit Carlos Tavares

, mis à jour 91

Lors du récent Mondial de l'auto, le patron de Stellantis promettait, devant le chef de l'État, qu'il allait assembler 12 modèles électriques en France. Patatras : un mois plus tard, il fait volte-face en expliquant que la fabrication de voitures zéro émissions est trop coûteuse en Europe. Renoncement ou manœuvre ?

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Quel prix pour une Dacia Sandero 3 d’occasion ?

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Après deux ans de commercialisation, la troisième génération de Sandero est très bien représentée sur le marché de l’occasion. Si cela s’avère théoriquement une bonne chose pour faire jouer la concurrence et maintenir des tarifs raisonnables, la réalité est tout autre. La citadine roumaine s’échange en occasion quasiment au prix du neuf.

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Midi Pile

De l'électricité dans l'air entre Biden et Macron

, mis à jour 41

Actuellement en voyage officiel aux États-Unis, Emmanuel Macron a emporté avec lui le dossier du protectionnisme automobile, qui réserve les aides publiques américaines aux achats de VE made in US. Une pratique que le président français a jugée « super agressive » et qu’il aimerait voir abandonnée. Quelles sont les conséquences de cet IRA (Inflation reduction act) sur l’industrie auto ? Elles sont quasi nulles pour la France, mais importantes pour l’Europe en général et l’Allemagne en particulier

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Dacia, « pépite » de Renault, vise 15 % de marge en 2030

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En France, Dacia est devenue en quelques années l’une des marques préférées des automobilistes, avec des modèles historiques tels que la Sandero et le Duster, mais aussi une jeune garde, incarnée par la Spring et le Jogger. Le DG du groupe Renault, Luca de Meo, ne tarit pas d’éloge sur cette filiale qu’il qualifie de « pépite ».

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Billet d'humeur

Le grand soir de Renault, c’est demain matin

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La Renaulution, la vraie, aura lieu demain 8 novembre. Au soir de ce « capital market day », on saura si Luca de Meo a réussi son pari : sauver la maison Renault, pas moins, en la divisant par deux. Le prix à payer pour que le losange survive dans la grande bourrasque qui risque de faire sombrer nombre de navires de l’automobile. Le prix à payer aussi pour vivre sans l’Alliance Renault Nissan qui, à l’issue de ces prochaines journées lourdes de conséquences ne pourrait plus être qu’un simple échange d’actions minimalistes comme il y en a tant.

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