Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
À quelques heures de l'assemblée générale du groupe qui a approuvé les 36,5 millions d'euros au total que doit percevoir son directeur général, celui-ci s'est exprimé devant quelques médias, dont Caradisiac. L'occasion, également, pour le patron de Stellantis, de revenir sur le changement de nom du SUV Alfa Milano, et de livrer son opinion sur les choix européens.
Reculade sur la date butoire de ventes de thermiques, interdiction d'importer du graphite chinois pour les batteries américaines alors que les autos de l'empire du milieu peuvent bénéficier d'une subvention si elles sont louées : la politique américaine est dans le flou artistique en matière de VE. Un sujet au centre des discussions d'ici l'élection du mois de novembre.
Avec un bénéfice de 18,6 milliards d'euros pour 2024 et une marge opérationnelle de 12,8 % : tout va pour le mieux dans la galaxie de 14 marques. Mais les chiffres auraient pu être encore plus spectaculaires sans le léger fléchissement américain de l'automne dernier.
Préfigurant une future berline électrique haut de gamme, la Chrysler Halcyon promet une conduite autonome de niveau 4 et repose sur la plateforme STLA Large de Stellantis.
Quelques petites phrases lancées par Carlos Tavares le 1er février ont suffi à alimenter le buzz autour d'un nouvel agrandissement de la galaxie Stellantis. Qu'en est-il réellement ? le Franco-Américain peut-il vraiment s'offrir l'un ou l'autre mastodonte de l'automobile mondiale ?
En présentant sa nouvelle grande plateforme électrique STLA Large, le patron de Stellantis s'est lancé dans son exercice favori : la chronique des malheurs automobile. Extraits.
Les pompiers ont dû intervenir au Chrysler Tech Center dans le Michigan à la suite de l’incendie d’un prototype électrique de la marque. One ne sait pas de quelle voiture il s’agit.
Après 7 semaines de conflit, un accord a été trouvé entre le syndicat UAW et les dirigeants de Ford et Stellantis. Mais la contagion guette : les hausses de 25% de salaires obtenus aux États-Unis ont poussé les ouvriers canadiens à demander la même chose. Comment réagissent les syndicats chez Stellantis en Europe ?
En signant un accord avec une émanation de l'ex-Areva, le groupe va pouvoir recycler ses batteries, et réutiliser 90% des éléments qu'elles contiennent. Une opération qui n'est pas seulement destinée à sauver la planète, mais aussi les approvisionnements des différentes marques de la galaxie franco-américano-italienne.
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