Vous l'avez peut-être vue dans Goldfinger ou dans Opération Tonnerre ; à l'époque, c'était Sean Connery qui conduisait l'Aston Martin DB5 de l'espion le plus connu au monde. Aujourd'hui, la voiture de James Bond datant de 1964 est à nouveau
James Bond ne craint personne au volant de son Aston Martin DBS, même si on sait qu'il avait un peu de mal à se faire à la transmission manuelle sur le tournage de Casino Royale. Sa belle GT anglaise est à l'épreuve des balles et des grenades. En revanche, elle reste à la portée des voleurs de jantes. C'est quand même humiliant.
Il y a seulement quelques jours, nous vous montrions le tout premier incident touchant une Ferrari 458 Italia avec un exemplaire rouge bien mal en point sur une route polonaise. Autre accident inaugural pour une nouveauté sportive d'exception aujourd'hui, mais cette fois son conducteur n'y est absolument pour rien.
Le nom de Xenatec peut vous paraître familier puisqu'il y a quelques jours, nous vous présentions leur dernier projet en date : une Maybach 57S Coupé. Mais la firme allemande est loin d'en être à son coup d'essai: petit tour dans une galerie qui confine parfois à l'horreur.
Quand un gars accède à la notoriété et engrange les millions de dollars grâce à son succès, il n'est pas rare de l'entendre clamer partout « je n'ai pas changé, j'ai toujours les mêmes amis ...etc etc ». Tututut; je n'en crois rien. Comment garder ses amis quand on a les moyens de rouler en Aston Martin alors que vos « potes » ont du mal à se payer une Golf ? En fait, c'est assez simple, il suffit d'acheter autant d'Aston Martin qu'on a de copains !
Interview
L'homme dont dépend l'avenir d'Aston martin, c'est lui. Depuis deux ans, il est le copropriétaire et le personnage central de la marque de Newport-Pagnell, après être parvenu à monter un important consortium pour racheter la marque anglaise au groupe Ford contre quelques 702 millions d'euros. A l'occasion de la première manche du championnat Le Mans Series au Circuit Paul Ricard HTTT, Caradisiac a pu s'entretenir avec David Richards, une parfaite occasion pour passer en revue la situation d'Aston Martin et d'évoquer son futur proche.
On ne s’en lasse pas. Observer la version définitive, vue le week-end passée dans les rues de Londres et sur la route, charmante, reliant la capitale anglaise au circuit de Silverstone où se disputait le Tourist Trophy et où débutaient les championnats GT3 et GT4 européens, de l’Aston Martin One-77 est un régal.
Il est né le divin Aston... Le coupé supercar d'Aston Martin a été montré dans sa version définitive pour la première fois en public lors de la manche anglaise du championnat GT1 disputé à Silverstone ce week-end.
Même après la disparition ou le rachat de ses enseignes les plus célèbres, le Royaume Uni reste un formidable temple de l'industrie automobile. Nombre de voitures devenues mythiques proviennent d'outre manche, qu'il s'agisse de citadine, de cabriolet ou d'ultra-sportive. Mais quelle est la plus réussie d'entre toutes ? La question a été directement posée aux Anglais.
La première version de l’Aston-Martin Lagonda, œuvre de William Towns, présentée en 1969, se présentait sous la forme d’une berline 4 portes reprenant les lignes du coupé DBS dont elle était une version allongée, et commercialisée que cinq ans plus tard, en 1974, fut victime de la première crise pétrolière.
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