Le salon Rétromobile bat son plein jusqu'à demain soir. On y découvre des merveilles qui font polémiques, des sportives de rêves et des autos moins chères. Loin de la Porte de Versailles, le patron de Stellantis nourrit et laisse courir les rumeurs sur d'éventuelles fusions à venir.
Michel Holtz
Lui écrireRétromobile ne saurait passer à côté des tendances du moment. Et la vanlife en est une d'importance. Alors le salon propose quelques véhicules de loisirs, forcément anciens. S'ils ne sont pas très nombreux, ils sont en tout cas rares pour certains et en très bel état pour tous.
Les visiteurs du Louvre n'ont pas forcément un Rembrandt à la maison. Il en va de même pour ceux de Rétromobile qui ne possèdent pas tous une ancienne ultra-rare. Mais quelle que soit leur monture, elle témoigne souvent de leur passion pour l'automobile.
Quelques petites phrases lancées par Carlos Tavares le 1er février ont suffi à alimenter le buzz autour d'un nouvel agrandissement de la galaxie Stellantis. Qu'en est-il réellement ? le Franco-Américain peut-il vraiment s'offrir l'un ou l'autre mastodonte de l'automobile mondiale ?
Qu'elles aient gagné la course, ou qu'elles soient exceptionnelles à d'autres titres, une quinzaine de voitures qui ont couru le fameux rallye-raid s'exposent à la Porte de Versailles jusqu'à dimanche soir. Florilège.
L'opération d'introduction sur les marchés de l'entité électrique du groupe n'est pas reportée : elle est purement et simplement annulée. Plusieurs raisons ont poussé Luca de Meo à renoncer. Décryptage.
Les prochaines échéances électorales, européennes et américaines, sont scrutées de près par l'industrie automobile. Son avenir est peut-être lié aux choix des électeurs lors des consultations de juin dans l'Union, et de novembre aux États-Unis. Explications.
Après ses fourgons de taille moyenne, la division pro du groupe Stellantis équipe ses camionnettes lourdes d'une pile à combustible gavée à l'hydrogène. Une manière d'occuper un marché pour le moment balbutiant.
Il a symbolisé les années dorées du cinéma italien. Mais aussi les belles années de l'automobile transalpine qu'il adorait, et notamment l'une de ses marques : Lancia, à qui il a fait une infidélité en s'offrant une Ferrari.
De 7h à 19h, le mardi 30 janvier, l'antenne locale va consacrer une journée entière à la marque dont l'usine est à Dieppe. l'occasion de se replonger dans le passé, le présent et le futur du régional de l'étape.