L’automobile serait-elle la variable d’ajustement du budget de l’État ? Au vu des dernières dispositions prises ou envisagées par l’exécutif, il y a de quoi se poser la question. Professionnels et particuliers, tout le monde est touché.
Possible sortie des véhicules hybrides rechargeables du cadre du verdissement des flottes et avènement dès 2025 de sanctions financières pour non-respect de la transition écologique, une valse à deux temps, vécue comme une double peine par les gestionnaires de flottes.
Sur les dix premiers mois de l’année, les entreprises françaises dépassent le quota de 20 % de véhicules propre dans le renouvellement de leur parc. Mais ce ne sont pas celles qui en ont l’obligation légale qui sont forcément les plus vertueuses. D’où la crainte des sanctions.
Dans une décision publiée ce 18 novembre, le conseil d’État donne raison à une automobiliste et précise le cadre juridique du forfait post-stationnement réalisé via un dispositif de géolocalisation.
Auditionné par les députés européens en vue de sa nomination au poste de commissaire européen à la Prospérité et à la Stratégie industrielle, l’eurodéputé français Stéphane Séjourné a détaillé les mesures pour redresser l’industrie européenne et relancer le marché automobile électrique. L’audition d’un bon élève prudent et vague.
L’Assemblée nationale vient de rejeter la loi de finance 2025. Il n’est plus question de sanctions contre les entreprises qui ne respectent pas leur engagement légal en matière de verdissement de flotte.
D’ici cinq ans les autorités estiment que le nombre de véhicules électriques en circulation va quadrupler en France. Il apparaît urgent d’équiper les immeubles en bornes de recharges, d’autant qu’il est possible de le faire pour zéro euro.
Chargés de conduire les athlètes et les officiels pendant la durée des JO, certains chauffeurs bénévoles au service du COJOP reçoivent depuis deux mois un pluie d'amendes assorties de retraits de points pour des infractions inexistantes ou alors réalisées sur demande des forces de l'ordre. Une situation ubuesque.
Victime d’un gros bug, l'application de navigation Waze, s'est mis à énnoncé ses instructions en langue étrangère de manière intempéstive. Déroutant pour les automobilistes.
Le groupe Michelin a annoncé ce mardi matin la fermeture des deux usines de Cholet et de Vannes. 1 254 postes sont concernés.