Philippe Curval est un des fondateurs, en France, de la science-fiction littéraire, auteur de plus 40 livres, traduit dans le monde entier. L’une de ses obsessions : raconter comment le futur, dans toutes ses composantes, politiques, sociales, économiques, scientifiques, pourrait changer notre vie. Sans jamais oublier de positionner au cœur de son œuvre l’homme et ses désirs multiples. Pour Caradisiac, il s’amuse à penser la vie de l’automobiliste dans le futur. Comment nous déplacerons-nous ? À bord de quel engin ? En combien de temps ? Dans 100 ans, à quoi ressembleront nos routes, les radars, les policiers ? Y aura-t-il encore des accidents ? Le plaisir de conduite, la vitesse, auront-ils disparu ? Quels nouveaux moyens de locomotion émergeront ? Après Les Vingt-Quatre Heures Déments projetant les courses du futur, après nous avoir raconté comment le petit-fils d'Anne Hidalgo dirigera la mairie de Paris dans l'avenir, Phillipe, cette fois, nous raconte comment les voitures autonomes pourraient bien avoir des conséquences inattendues sur la vie amoureuse de leurs conducteurs et condutrices !
Claude Barreau
Lui écrireVous avez déjà découvert la partie touristique de notre périple, "25 000 kilomètres en Dacia". Place maintenant aux essais des modèles utilisés pendant une semaine entre Paris et Bucarest, à savoir les Logan, Logan MCV et Sandero. Ont-elles été confortables à la longue ? Comment se sont-elles comportées sur les difficiles routes roumaines ? Réponse en vidéos à ces questions et à beaucoup d'autres.
25 000 km avec cinq Dacia pendant une semaine, voilà ce que nous voulions vivre pour voir ce que ces voitures avaient dans le ventre. Après quatre jours éprouvants de voyage pour rallier Bucarest et Titu, nous repartons vers Paris. Le retour ne sera pas plus simple.
Auto-fiction n°2 : On le surnommait Hifils, par Philippe Curval
, mis à jour 12
Philippe Curval est un des fondateurs, en France, de la science-fiction littéraire, auteur de plus 40 livres, traduit dans le monde entier. L’une de ses obsessions : raconter comment le futur, dans toutes ses composantes, politiques, sociales, économiques, scientifiques, pourrait changer notre vie. Sans jamais oublier de positionner au cœur de son œuvre l’homme et ses désirs multiples. Pour Caradisiac, il s’amuse à penser la vie de l’automobiliste dans le futur. Comment nous déplacerons-nous ? À bord de quel engin ? En combien de temps ? Dans 100 ans, à quoi ressembleront nos routes, les radars, les policiers ? Y aura-t-il encore des accidents ? Le plaisir de conduite, la vitesse, auront-ils disparu ? Quels nouveaux moyens de locomotion émergeront ? Après Les Vingt-Quatre Heures Déments projetant les courses du futur, l'écrivain dans son auto-fiction n°2 évoque Hifils, petit-fils d'une femme qui occupe aujourd'hui la fonction de Maire de Paris.
L’association Anticor qui lutte contre la corruption considère que l’entreprise Fareco, le fournisseur des « mobiles mobiles » depuis 2012, a été favorisée dans l’obtention de deux contrats passés sans appel d’offres. Elle a déposé plainte pour délit de favoritisme devant le Parquet national financier (PNF).
Le 5 décembre 2017, Caradisiac mettait en ligne l’article « Anne Hidalgo prône le métro, mais se déplace uniquement... en voiture ». Le 8, une journaliste réputée du Monde commentait notre reportage sur son compte Twitter. L’un des conseillers d’Anne Hidalgo, Matthieu Lamarre, a alors tenté de nous décrédibiliser en utilisant des arguments qui mettent en évidence son arrogance, une forme d’incompétence et le malaise de la mairie face à notre enquête.
Enquête exclusive - Anne Hidalgo prône le métro, mais se déplace uniquement... en voiture (vidéo)
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Anne Hidalgo, la Maire de Paris, ne cesse d'exhorter les automobilistes à ne plus prendre leur voiture dans la capitale. Pour savoir si elle est exemplaire, Caradisiac l'a suivie pendant deux mois. Voici le compte-rendu de notre enquête qui impose deux conclusions : Anne Hidalgo ne se déplace qu'en voiture (électrique) et se gare sur des places interdites. Un constat qui nous a incités à lui adresser la lettre ci-dessous.
Philippe Curval est un des fondateurs, en France, de la science-fiction littéraire, auteur de plus 40 livres, traduit dans le monde entier. L’une de ses obsessions : raconter comment le futur, dans toutes ses composantes, politiques, sociales, économiques, scientifiques, pourrait changer notre vie. Sans jamais oublier de positionner au cœur de son œuvre l’homme et ses désirs multiples. Pour Caradisiac, il s’amuse à penser la vie de l’automobiliste dans le futur. Comment nous déplacerons-nous ? À bord de quel engin ? En combien de temps ? Dans 100 ans, à quoi ressembleront nos routes, les radars, les policiers ? Y aura-t-il encore des accidents ? Le plaisir de conduite, la vitesse, auront-ils disparu ? Quels nouveaux moyens de locomotion émergeront ? Qu’aura fait de Paris Jean Hidalgo, petit-fils d’Anne, Etc. ? A travers ses Nouvelles, Philippe nous donnera sa vision fantastique de nos mobilités. Avec humour, toujours. Et il vous faudra prendre l’habitude de ne pas les lire qu’au second degré… Sachez qu’un ensemble de romans, L’Europe après la pluie, publié dans les années soixante-dix, évoque ce que nous vivons aujourd’hui. Premier volet de cette saga futuriste : « Les Vingt-Quatre Heures Déments ».
Ils ont arpenté les allées du salon de Francfort pendant des heures. Ils ont observé de près toutes les nouveautés. Oubliant l'aspect rationnel de leur analyse, les journalistes de Caradisiac vous présentent leurs coups de cœur et leurs déceptions.
DROIT DE REPONSE. À la suite de la publication de notre article "Avec la petite reine, le roi sécurité routière est nu", nous avons reçu une lettre du délégué interministériel de la Sécurité routière, Emmanuel Barbe, qui entend réagir. Nous la publions ci-dessous intégralement.