Après la (trop ?) forte charge de second degré d’hier soir, revenons pour ce Minuit chicanes au ras des pâquerettes.
La journée de repos d'hier a visiblement permis de recharger les accus pour certains concurrents du top 5, pas encore décidés à abandonner la bagarre pour le titre. Ainsi, Nani Roma a remporté cette étape entre Copiapo et Antofagasta devant Gordon et Holowczyk qui se rapprochent de Peterhansel au classement.
Parmi le flot d’informations en provenance de Détroit, où le salon annuel vient d’ouvrir ses portes, accordons-nous donc une pause.
Chez Toro Rosso, on a décidé que le temps imparti à Sébastien Buemi et Jaime Alguersuari pour faire leurs preuves était terminé. En conséquence, ils ont été débarqués sans guère de ménagement et remplacés par la jeune garde Red Bull composée du duo Daniel Ricciardo/Jean Eric Vergne. Et comme si cela ne suffisait pas, Helmut Marko en rajoute une couche en précisant qu'ils n'étaient pas assez bons pour Red Bull !
Après l'annulation d'hier due non pas à la canicule mais aux chutes de neige dans la Cordillère des Andes (!), les concurrents ont repris la piste aujourd'hui chrono en main sur la boucle tracée autour de Copiapo. De quoi permettre aux Hummer de reprendre espoir avant la journée de repos de demain.
Dans ce nouvel « Echos des paddocks », une fois n’est pas coutume, le meilleur est à l’intérieur !
Le phénomène de l'aspiration est connue de tous ceux qui aiment la compétition automobile. Une auto qui ouvre la piste créé une dépression derrière elle qui aspire son suivant. Cette vitesse supplémentaire acquise gratuitement permet de doubler en bout de ligne droite. Sur les ovales américains, la pratique de l'aspiration est une religion accessible même en kart !
La course de côte d'Oberhallau, en Suisse, met en scène de nombreux modèles automobiles, pour le bonheur des amateurs et spectateurs.
Le contentieux opposant la Subaru Impreza à la Mitsubishi Lancer Evolution est une affaire de famille repris de génération en génération depuis près de 20 ans, dans le civil comme sur le front du rallye. Ces berlines taillées pour le sport, atteignent la barre des 300 ch, affichent des rejets politiquement incorrects et flirtent avec les 50 000 €. Des dinosaures dans le panorama actuel.
Loin de nous la prétention de jouer les médias spécialisés et de vous livrer un jugement pointu sur des autos de compétition. Soyons tout de suite clair, ce n’est pourtant pas faute d’admirer cette discipline mais jamais je n’avais mis mon auguste arrière train dans une auto de rallye en mouvement, pas même en passager. L’occasion de « tester » une partie de la gamme Rallye de Renault Sport à la fin de l’épreuve du Var s’est convertie en occasion rêvée pour une rapide initiation que nous vous faisons partager.
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