Au-delà de 40 km/h de dépassement de la vitesse limite, ou avec une alcoolémie supérieure à 0,8 g/l de sang (soit plus de 0,40 mg/l d'air expiré), ou encore après un dépistage positif aux stupéfiants, son permis peut-être retiré sur-le-champ par les forces de l'ordre. Dès lors plus question de conduire, même juste le temps de rentrer chez soi ?
Il existe des sujets trop rarement abordés, surtout par la presse.
Quand on choisit de ne pas désigner le conducteur que l'on pense responsable de l'excès de vitesse effectué avec son véhicule et repéré par un radar automatique, peut-on payer la contravention tout en étant sûr de ne pas perdre de point(s) ?
Depuis le début de l'année 2012 les GPS-avertisseurs de radars sont interdits... En théorie uniquement ! En pratique, ces avertisseurs ne peuvent simplement plus utiliser le mot « radar » et indiquer les dispositifs de contrôle en un point
Le nombre de délits d'usurpation des plaques d'immatriculation serait en pleine explosion ! Difficile de faire parler les chiffres officiels, puisqu'avec le développement du contrôle automatisé des infractions routières, les conducteurs fautifs
Stéphanie Fontaine2012-09-11T22:12:03.88vdc166510
Stéphanie Fontaine2012-09-05T08:15:53.19vdc166377
Alors que le premier radar tronçon est entré en service près de Besançon il y a quelques jours, de nouvelles voix s'élèvent pour dénoncer l'illégalité du nouveau matériel. Pourquoi ? Parce que le certificat d'homologation de cet appareil aurait dû être publié au Bulletin officiel selon certains avocats. Une raison valable pour se risquer à contester un éventuel PV ? Pas sûr. Il n'en reste pas moins que l'arrivée de ces nouveaux cinémomètres pose bien des questions. RECTIF.
Sans interpellation, il n'est pas toujours évident de se rendre compte qu'on est verbalisé. Avec le contrôle automatisé des infractions routières, c'est courant. Or, quand on est absent de chez soi sur une longue période, comme par exemple
Dans notre rubrique En direct des tribunaux, nous recueillons les témoignages de conducteurs, venus au tribunal se défendre seuls ou avec leur avocat, à la sortie des audiences. Notre cas du jour : un motard pris au radar « mobile » à plus de 40km/h au-dessus de la vitesse limite. Les agents verbalisateurs ont procédé à l'immobilisation de son véhicule et à la rétention de son permis, suspendu un mois et demi par le préfet dans la foulée. Après quelques mois, il est jugé devant la juridiction de Proximité pour connaître les éventuelles sanctions judiciaires. Car la procédure de l'amende forfaitaire ne s'applique pas dans son cas. Résultats ? Réponse dans notre vidéo.
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