Cet été, le « cédez-le-passage » des vélos se généralise sur l'ensemble de la capitale : les cyclistes pourront désormais passer le feu rouge... mais sous certaines conditions.
Comme chaque année depuis 2012, la Sanef a observé ses usagers. Et la société d'autoroutes ne peut que constater que leurs comportements ne s'améliorent guère cette année. Limitation de vitesse, distances de sécurité, clignotant, portable tenu en main... Dans tous ces domaines, la législation n'est pas grandement respectée. Sans impact – du moins pour l'instant – sur l'accidentologie. Au contraire, cette dernière tend toujours à s'améliorer.
Pour la Sécurité routière, aucun radar n'est installé pour rapporter de l'argent à l'Etat (+ vidéo)
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La Sécurité routière dément catégoriquement que les radars automatiques puissent être situés hors zones dangereuses, a-t-elle fait savoir dans un communiqué mardi, en réponse à l'enquête d'Auto Plus qui affirme que 52 % des automates n'y sont pas. Comment expliquer qu'il y en ait bien d'installés dans des endroits non accidentogènes ? Comment justifier la présence des radars feux rouges, alors que selon les experts, ils n'amélioreraient pas l'accidentologie ? Toutes les réponses d'Emmanuel Barbe, le délégué interministériel à la Sécurité routière, que Caradisiac a joint par téléphone.
En 2014, les conducteurs belges ont commis près de 420.000 infractions sur nos routes... soit plus de 1.000 PV par jour ! Les Belges sont donc les pires conducteurs d'Europe sur le réseau routier français.
La sécurité routière ce n’est pas seulement une question de radar de chantier, c’est aussi un travail permanent de sensibilisation et de formation. Celle-ci semble nécessaire si l’on se souvient d’une récente étude de l'association Prévention routière révélant que la moitié des conducteurs réguliers avouaient avoir des lacunes en matière de code de la route. De son côté, le Conseil national de sécurité routière (CNSR) a voté en mai une recommandation pour un "continuum éducatif" après l'examen du permis de conduire. Et dans les faits ? L’association 40 millions d’automobilistes agît.
Carlos Ghosn, le patron du groupe automobile Renault-Nissan, a envisagé, le week-end dernier, du côté des rencontres économiques organisées à Aix-en-Provence, la disparition de la profession de taxi d’ici à vingt ans. Ceci par la faute de l’avènement d’une voiture autonome déjà en chemin. Une idée qui est partagée par la sulfureuse enseigne Uber qui aime donner des coups de pied dans la fourmilière du métier dévolu au transport de la personne. A la différence près que la société américaine n’a pas l’intention d’attendre aussi longtemps. Elle vient même de carrément lancer une précommande des prochaines automobiles que la marque Tesla compte lancer sur ce nouveau marché de l’engin entièrement connecté.
Afin de sensibiliser les automobilistes sur la route des congés, six associations et entreprises présentent les gestes à adopter dans le cadre de l'opération « Parés pour les vacances. »
La conjoncture va de Charybde en Scylla pour une enseigne Takata dont la réputation se dégonfle en même temps que ses airbags tuent en se déployant. Confondu pour un défaut de qualité d'un gonfleur qui peut éclater sous certaines conditions (ancienneté, humidité, etc.), projetant alors des fragments de métal et de plastique sur le conducteur ou le passager, l'équipementier n'est pas près de voir la lumière au bout du tunnel. A moins que celle-ci ne provienne du train roulant dans sa direction. Huit morts recensés à cause de sa bévue, Honda, BMW, Fiat Chrysler, General Motors, Ford, Mazda, Mitsubishi Motors, Nissan, Subaru et Toyota touchés par elle et environ 34 millions de véhicules en cours de rappel aux Etats-Unis. Suffisant ? Non. On soupçonne à présent Takata d'avoir sciemment sacrifié son contrôle qualité sur l'autel des profits.
Les vacances approchent et avec elles, arpenter les autoroutes pour aller vers son lieu de villégiature va être l'exercice incontournable. C'est payant, mais c'est aussi pratique et généralement plus sûr que la route secondaire. Pourtant, il ne faut pas trop enjoliver la réalité. Il faut y rester prudent car on y meurt comme ailleurs. Certains la prennent à contresens et les autorités ont créé un nouveau panneau pour diminuer ce risque. D'autres y tombent en panne et passent d'automobiliste à piéton. Un statut de tous les dangers sur le grand ruban.
Les données de la sécurité routière sont souvent mauvaises lorsqu'il s'agit des jeunes, la fameuse tranche des 18-25 ans qui est responsable d'une partie non négligeable des accidents. Il y a bien des raisons à cela, et l'étude réalisée par « le jeune conducteur » le prouve : 81 % des jeunes envoient des SMS au volant et presque un sur deux a déjà conduit en étant alcoolisé.
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