La saison de motocross s'est achevée il y a déjà un mois et demi à Faenza, on se tourne donc maintenant vers la saison 2009 qui débutera comme à son habitude par le motocross internationale de Valence. Cet événement est un rendez-vous ou les plus grands teams sont présents avec leurs pilotes.
Sylvain Guintoli a franchi le pas vers le British Superbike en enfourchant la Suzuki GSX/R du team Crescent, pour un premier galop d'essai sur le tracé de Brands Hatch. Un circuit et une moto qu'il découvrait, tandis que c'est la configuration la plus courte du site qui a servi de base à ces débuts.
L'affaire n'était pas acquise au début de la période estivale, la voici confirmée en ce début de trêve hivernale du Moto GP. Fiat continuera ainsi à supporter le team officiel Yamaha l'année prochaine, et même en 2010, puisque les deux parties se sont accordées pour stabiliser leur rapport pendant deux saisons.
Il y a 10 ans, Claude Michy et Jean-Christophe Giletta font le pari d'organiser le premier supercross au Stade de France. Le pari semble osé, surtout que la vente de la billetterie ne durera que six semaines. Dix jours avant la date, les travaux de la piste avaient commencé, sous la houlette de Didier Duzelier et Philippe Branlé.
Alors que la morosité s'installe et que l'effet papillon d'une crise financière touchant un milieu opaque qui fera payer ses errements à une majorité bien réelle se matérialise, le boss de Ducati, Gabriele Del Torchio n'est pas le moins du monde inquiet de la mauvaise vague qui pointe.
Voilà un motard heureux. Le septuple Champion du Monde de Formule 1 à la retraite, qui se fait plaisir tout en assumant les risques dans le championnat teuton de Superbike, a reçu ses cadeaux de Noël bien avant l'heure, tout comme l'an passé où il avait chevauché la Desmosedici de Grand Prix.
Vainqueur d'une manche du mondial Supersport à 19 ans, en mondial Superbike a 20 ans et dès sa première année dans le wagon de la Superspole, Yoann Tiberio a connu le parcours type du futur grand espoir tricolore de la catégorie des Flammini.
A une période où le milieu du Superbike semble s'adonner au rajeunissement des cadres, le prochain line-up pilotes en provenance de la structure transalpine BE1, qui a épousé la cause de la Triumph 675 Daytona, sonne comme une note discordante.
Il fêtera bientôt ses 25 ans, et c'est la dernière perle venue d'une Australie qui a dominé la saison des Flammini cette année. Avec un Bayliss champion, un Corser vice champion et un Pitt couronné en Supersport, il s'en est fallu d'un Loris Baz impérial en 600 Superstock pour que les résidants des antipodes ne fassent la razzia en Superbike.
Après avoir remplacé un Fabien Foret blessé sur la Yamaha R6 officielle à Vallelunga, une pige prometteuse puisqu'elle lui a rapporté le podium, Eugène Laverty avait juré ne plus remettre ses bottes dans un GP250 qui l'avait relégué au rang d'anonyme.
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