Le milliardaire et patron de Tesla aura bientôt droit à son propre film. Et c'est un très grand réalisateur qui va s'en charger.
L’actualité culturelle autour de l’automobile reprend sur les chapeaux de roues. Enfin, façon de parler, car associer le mot culture avec des productions comme Gran Turismo est éminemment incongru !
Pour la 49e édition de son festival du cinéma américain, Deauville dispose d'un sponsor parfaitement en phase avec sa vocation. Car d'Un homme et une femme à Bullitt, Ford est largement visible dans le cinéma américain en général et à Deauville en particulier.
En préparation depuis huit ans, et après de longues galères, le film de Michael Mann sort enfin sur les écrans à la fin de l'année. Mais pas dans les salles obscures, uniquement sur Amazon Prime. Les premiers avis sur ce biopic qui n'en est pas un sont mitigés.
S'il est surtout connu pour l'Exorciste, le plus gros succès de sa carrière, le réalisateur américain qui s'est éteint cet été, était avant tout le gosse mal élevé du cinéma américain, n'hésitant pas à outre passer ses droits pour une belle image. Surtout lorsqu'elle reproduisait une course-poursuite en voiture.
Se retrouver face à des Peugeot 302 ou de vieux taxis Renault des années 30 dans un quartier de Paris totalement vidé de ses voitures modernes, voilà qui troublera les amateurs d’automobile. On doit cette situation hors normes au tournage d’un film.
Certes, faire un film à partir d’un jeu vidéo n’a rien de très innovant. Mais lorsque c’est un grand nom de Hollywood qui est derrière la caméra, le résultat est loin d’être inintéressant.
Un film bien réalisé, des acteurs parfaits, trimballés dans une auto attachante : le secret d'un long-métrage réussi, sans être parfait ? C'est en tout cas le programme que propose Marie Garel-Weiss dans Sur la branche.
On ne saurait concevoir une poupée Barbie sans son avion, son camping-car ou sa fusée et, bien entendu, sa voiture. Celle de Margot Robbie, qui interprète le rôle de la poupée, dans le film sorti ce mercredi, est une Corvette d'un genre spécial, légèrement plus petite que la vraie, elle bénéficie aussi d'une banquette à l'arrière pour accueillir Ken quand il n'est pas au volant de son Hummer électrique.
Dans le septième film de la saga des autos qui se transforment en gentils ou en méchants robots, une Porsche 911 de 1994 tient la vedette. Quant à la BO, elle est signée par l'auteur-compositeur MC Solaar, mais dans la version française uniquement.
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