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L'actuel patron de Ferrari, qui fait la transition en attendant le nouveau PDG, ne semble pas effrayé par le bannissement du moteur à combustion dès 2035.

Si la dotation de nos autos ne cesse de s’enrichir, il est quelques équipements parfois sécuritaires qu’on pourrait leur ajouter sans que cela ne se paie au prix fort.

Les amateurs de belles mécaniques ne se comptent plus. Les collectionneurs non plus, et ils sont nombreux à investir dans des productions très limitées ou des véhicules mythiques dont il ne reste que de très rares exemplaires dans le monde. Pour les satisfaire, quelques designers de talent redonnent vie à des véhicules légendaires qui, en leur temps, nous ont fait rêver.

Suzuki et Daihatsu rejoignent Toyota dans une co-entreprise pour développer notamment des utilitaires électriques mais aussi travailler sur les fameuse "kei", ces mini autos spécifiques au marché japonais.

Le Toyota C-HR est une valeur sûre du marché français, malgré - ou grâce à - un design pour le moins spectaculaire, qui tranche fortement avec le reste de la production. Pour ce deuxième épisode de la série des « Affaires de style », Stéphane et Serge s’écharpent joyeusement à son sujet, et vous allez voir que le plus conservateur n’est pas forcément celui qu’on croit.

Ce futur modèle de la marque coréenne aura un design inspiré par les premiers Korando.

Maybach, la division grand luxe de Mercedes, passera dans quelques années à l'électrique. Tout comme l'historique franchisseur Classe G, qui vit ainsi ses dernières heures - années - avec un moteur à combustion sous le capot.

Christopher Bangle est un personnage clé dans l’histoire de BMW car il est l’auteur de l’une des mutations essentielles que l’entreprise a osées pour se surpasser. Au-delà de la personnalité du designer, la société elle-même prend une autre dimension sous son influence.

La marque suédoise va abandonner les assemblages de nombres et de lettres.

Tout le monde s'accorde à louer la beauté du style de la Ferrari 456. Tout le monde, oui, mais pas Serge Bellu qui qualifie ses proportions de bancales et la trouve "bourée de fautes". En face, Stéphane Schlesinger doit déployer tous ses talents d'avocat pour défendre une voiture qu'il qualifie de "splendeur".