Les logiciels truqueurs qui rendent les moteurs diesels plus vertueux qu’ils ne le sont vraiment au regard des normes antipollution sont un phénomène qui nous est familier depuis 2015. Une popularité due à Volkswagen qui, depuis, se perd en procédures, amendes et indemnités à travers le monde, sans compter le rappel de millions de ses véhicules pour mise en conformité. Un spectre qui s’agite à présent devant le puissant groupe Daimler. Une situation qui intéresse aussi Renault…
Le dieselgate continue à polluer la vie du groupe Volkswagen. La famille VAG n’est pas épargnée par les affres de la marque dominante de Wolfsburg, ce qui se comprend aisément lorsque l’on partage la même banque de données mécanique. Cette fois, c’est le seigneur des anneaux Audi qui est visé par la déchéance. Le blason d’Ingolstadt est soupçonné d'avoir manipulé des dizaines de milliers de véhicules supplémentaires pour contourner des normes écologiques par les autorités allemandes.
Serait-ce le moment du règlement de compte final chez Volkswagen ? Celui d’une affaire des moteurs diesels sciemment truqués par un logiciel les rendant vertueux au regard des normes antipollution. Un scandale qui a pollué toute la planète automobile, étouffé cette motorisation, poussé à l’électrification des gammes des constructeurs qui se jettent dans les bras chinois qui ont parié depuis longtemps sur les batteries. Mais Volkswagen, de son côté, travaille à apurer ce passif.
Ce n’est pas un retour à la guerre de sécession, mais c’est tout de même un défi lancé à l’administration fédérale et donc, au Président des États-Unis, Donald Trump. Ce dernier veut démanteler la majeure partie du « plan climat » établi par son prédécesseur démocrate, Barack Obama. Une décision qui n’est pas du goût de tout le monde, à commencer par la Californie où le gouverneur, du parti démocrate, s’est lancé dans un combat judiciaire pour maintenir ledit plan. L’État en a même fédéré d’autres…
Le 19 avril dernier nous vous révélions l’émergence de soupçons portant sur un constructeur Subaru qui aurait falsifié sur une longue période et de manière "quotidienne" des données de consommation sur ses véhicules, et notamment sur le Forester. Le ministère japonais des Transports avait demandé récemment une enquête interne à Subaru. Celle-ci a rendu ses conclusions : les faits sont avérés pour 903 véhicules identifiés.
Ils avaient eu l’autorisation de la voisine pour garer leur véhicule dans sa maison. Mais en voulant la récupérer, ils ont découvert une maison vide, garage y compris. La propriétaire venait d’être saisie et tous les bien vendus par l’huissier. Leur voiture aussi. Une histoire qui s’est déroulée au Canada. Et le plus fort, c’est que l’huissier était dans son droit le plus strict…
Son sort était a priori scellé. Puisque, en plus, il avait reconnu les faits. Qui n’avaient rien d’anodin car, pour y mettre un terme, un déploiement conséquent de forces de police et de gendarmerie avait dû être mis en place. Et pourtant, il s’en est bien sorti devant un tribunal qui a constaté son absence. Mais pas que…
Le conducteur était jugé pour outrage. Pour le Procureur de la République, ce geste était par extension destiné aux fonctionnaires du centre de traitement des infractions à Rennes.
La justice a considéré que les entreprises qui proposaient la location de bolides dans les rues de Paris pratiquaient une vente à la sauvette. Trois d'entre elles ont eu une amende et ont eu des véhicules confisqués.
Les faits remontent au 13 juillet 2015, une date qui restera gravée dans la mémoire d’un François Jarrige et peut-être dans l’histoire du modèle Espace V de Renault. Ce dernier point dépendra de la justice, saisie d’une plainte du premier cité à l’encontre du constructeur de la voiture décrite. Celle-ci aurait redémarré toute seule pour s’offrir quelques mètres avec une passagère de huit ans assise à l’arrière. Un fait insolite et, heureusement, aucun blessé à déplorer. Mais une décision judiciaire devra être rendue.
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