
L’année 2017 ne s’annonce pas simple pour le groupe automobile General Motors. Dans le collimateur de celui qui sera Président des États-Unis le 20 janvier du fait d’un plan social, il est dans la tourmente en Chine, pays où il devra payer une forte amende pour avoir enfreint les règles de la concurrence. Ceci après une tension diplomatique initiée par Donal Trump qui a pris langue avec Taïwan. Et c’est le même élu des Républicains qui promet au constructeur une "une lourde taxe frontalière".