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Les grèves dans la on ne peut plus stratégique industrie automobile Turque prennent fin. Les constructeurs ont lâché du lest sur les salaires et la Turquie respire. Dans le cas quasiment emblématique d'une usine d'Oyak-Renault, où ils étaient une grande majorité des 5 000 personnels à avoir débrayé, il s'en est fallu de 1 000 livres nationales pour désamorcer une situation explosive à la veille d'élections législatives attendues pour le 7 juin. L'équivalent d'un mois de salaire. D'une valeur, sous nos latitudes de... 350 euros.