La lutte contre le réchauffement climatique passe plus que jamais par l’automobile, sommée de se verdir rapidement pour répondre aux objectifs des pouvoirs publics. La première ministre Elisabeth Borne a détaillé les premiers contours de la trajectoire permettant une baisse des émissions de CO2 des transports.
En tentant une mesure de protectionnisme, le président de la République tente de manœuvrer comme Joe Biden et son IRA. Comme lui, il envisage un programme destiné, entre autres, à empêcher les constructeurs chinois d'envahir le marché local. Mais la France n'est pas l'Amérique.
Après avoir quitté la Russie suite à la guerre en Ukraine, Mercedes-Benz peut-il partir de Chine en cas de conflit de l’Empire du Milieu avec Taïwan ? Pour le patron Ola Källenius, c’est absolument impensable.
Cette semaine, la France a franchi le cap ô combien symbolique des 100 000 points charge ouverts au public. Si bien des progrès restent à accomplir, notamment en ville et dans le copropriétés, cela représente un cap majeur dans la transformation progressive du parc automobile.
La question de la vitesse en voiture reste un sujet très sensible dans le débat public, comme on l'a pu constater à deux reprises cette semaine.
La réponse à ce titre provocateur est bien entendue négative. Pour autant, il se trouve que les problèmes du moment, des ZFE, aux 80 km/h, en passant par les radars, le tout électrique et son prix à payer, trouvent un écho plus que favorable dans les médias d’extrême droite et au Rassemblement National que l'on traite généralement de réactionnaires. Une tentative de récupération facilitée par l’abandon de ces sujets par les partis modérés, hormis le parti communiste.
À partir d'aujourd'hui et jusqu'au 28 mai, chacun peut s'exprimer sur la future voie réservée au covoiturage et aux transports en commun sur la rocade parisienne. Un référendum pour ou contre la mesure ? Pas vraiment. La mairie de la capitale se contente de demander aux usagers de trancher sur les modalités d'application d'une décision déjà prise.
PV radars et autres : les recettes des amendes en hausse
, mis à jour 43
En 2022, les PV dits routiers ont rapporté près de 1,9 milliard d'euros, dont plus de 700 millions d'euros rien qu'avec les amendes forfaitaires des radars. C'est beaucoup plus que toutes ces dernières années, mais toujours moins qu'en 2017. Toutes ces recettes et dépenses enregistrées à partir des contraventions gérées à Rennes restent problématiques pour la Cour des Comptes. Car elles contreviennent non seulement à la loi budgétaire, mais aussi à la bonne lisibilité de ce qui est réellement fait en matière de sécurité routière. Revue de détails de l'analyse des comptes de l'État par les Sages de la rue Cambon.
Selon une étude rendue publique ce matin, près de la moitié des Français ignore encore à peu près tout des Zones à faibles émissions appelées à se multiplier dans les grandes agglomérations. Compte tenu des difficultés que pose le renouvellement du parc automobile, une adaptation du cadre légal paraît désormais souhaitable.
ZFE : des voitures radar bientôt interdites de circuler ?
, mis à jour 76
Tous les véhicules équipés de radar capable de flasher dans le flot de la circulation, que leur conduite soit toujours assurée ou non par des policiers et des gendarmes, roulent au gazole. Des véhicules suffisamment récents pour disposer d'une vignette Crit'Air 2, pour l'heure non concernée par les restrictions de circulation. Mais pour combien de temps encore ? L'électrique pour ces engins n'est en tout cas point compatible, a récemment fait savoir le ministère de l'Intérieur.
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique