Si la hausse spectaculaire du prix des carburants occupe tous les esprits ces derniers temps, le panier Caradisiac montre que les prix des pièces d’entretien courant est encore loin de s’envoler. Reste à savoir jusqu'à quand.
Le marché du véhicule électrique (VE) a déjà plus que doublé entre 2020 et 2021 (+ 108 %). Mais ce n'est pas fini manifestement. Avec le dynamisme du marché chinois, de Tesla et du groupe Volkswagen, il pourrait encore croître de 70 % en 2022. Ce sont les prévisions du cabinet Jato Dynamics, spécialisé dans les marchés automobiles.
Sur fond d'aggravation du conflit en Ukraine, le prix du baril de Brent s'approche de son record absolu datant de la crise de 2008, à savoir 140 dollars.
Elle est sur le marché depuis plus de cinq ans, ce qui n’empêche pas la citadine des chevrons de faire un retour en force au mois de février. Elle se classe deuxième du marché français et se permet même de surclasser la Renault Clio. Qu’est ce qui provoque un tel engouement pour la petite Citroën ? Explications.
Si les gros constructeurs traditionnels restent en tête du classement, la crise sanitaire a quelque peu rebattu les cartes. Les marques asiatiques profitent de leur proximité avec les semi-conducteurs pour être livrés pendant que d'autres délaissent les volumes, confortent leurs marges et sont ravis d'avoir baissé dans le classement, à l'instar de Stellantis.
Les ventes de voitures neuves ont encore baissé de 13 % en février. Dans un contexte toujours particulier, Peugeot plonge mais reste en tête.
Christophe Périllat, le nouveau directeur général de Valeo a présenté le plan stratégique de l’équipementier automobile pour les années à venir. Le développement de la mobilité électrique et des aides à la conduite est au cœur de cette stratégie.
En janvier, les SUV ont atteint une part de marché record, à 50 %. La voiture la plus vendue reste toutefois une citadine, la Dacia Sandero !
Selon le baromètre du site européen "Le parking", qui agrège les annonces de plusieurs pays, dont la France, les stocks de véhicules d'occasion ont repris des couleurs, et l'offre est en hausse. Mais cela n'empêche pas les prix de continuer à subir une inflation galopante...
On leur dit de prendre les transports en commun ? Ils préfèrent la voiture. On les pousse vers l'électrique ? Ils restent réticents. On leur explique qu'il faut acheter leur véhicule plus cher et sur Internet ? Ils privilégient les points de vente physiques. D'après une étude du cabinet Deloitte, l'homo automobilicus n'a pas vraiment changé malgré les nombreuses injonctions politiques et industrielles. Est-il ringard et réac ou se méfie-t-il des incertitudes d'un futur aléatoire et trop cher ?
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