Guerre des prix en Chine, velléités de produire des voitures électriques à moins de 25 000 euros : les signes d’un changement de stratégie apparaissent sur la planète auto. La folie du « produire moins pour gagner plus » a peut-être enfin du plomb dans l’aile, pour le meilleur et pour le consommateur.
Faire des propositions législatives d’ici l’automne pour favoriser le partage de l'accès aux données, aux fonctions et aux ressources embarquées dans les véhicules. Voici la demande expresse qui vient d'être adressée au Commissaire européen Thierry Breton.
La mobilité électrique "accessible" se fera, mais probablement dans un délai bien plus long que celui espéré par le pouvoir politique.
Selon une étude du cabinet Inovev, les unités de production européennes des deux groupes français ne tourneraient pas à plus de 50 % de leurs capacités, un peu moins que la moyenne de l’ensemble des marques, à 58 %. Un score général plutôt mauvais qui cache de fortes disparités
Même s’il n’est plus possible de revenir sur l’interdiction de vente des véhicules thermiques neufs en 2035 au sein de l’Union européenne, ces huit pays font pression pour demander des exemptions les plus larges possibles.
Afin de satisfaire l’Allemagne, la Commission européenne propose d’autoriser la vente de voitures fonctionnant avec du carburant synthétique après 2035.
Le groupe Stellantis vient de signer un accord avec les autorités sud-africaines pour mettre en place une usine de production en Afrique du Sud. Le groupe souhaite ainsi vendre un million de véhicules dans la région d’ici 2030.
En raison de l’opposition surprise de l’Allemagne dans la phase finale de l’adoption du projet, le conseil de l’Union européenne est contraint de reporter son vote final sur l’interdiction de vente des voitures thermiques neuves de 2035.
Le premier constructeur mondial pourrait bien virer de bord. Et les réticences de son ex-patron, qui va quitter son fauteuil dans un mois, pourraient bien céder la place à l’enthousiasme de la nouvelle direction pour les autos à batteries.
Et si Citroën changeait radicalement de positionnement ? Et si la marque historique de l’innovation et du haut de gamme à la française devenait low cost ? Et si sa nouvelle cible était Dacia, et plus du tout les marques généralistes ? Beaucoup de « si » pour une hypothèse soulevée par Les Echos. Mais si ce gros changement est possible, il est loin d’être certain. Explications.
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