
Coup de théâtre aujourd'hui : en début d'après-midi, l'action de Renault plongeait et perdait plus de 20 % à a Bourse de Paris après l'annonce de perquisitions chez le constructeur français pour un soupçon de fraudes aux émissions polluantes. Mais ce soir, les autorités politiques temporisent: « il n'y a pas de logiciel de fraude chez Renault », assure Ségolène Royal.