Selon Emmanuel Barbe, le problème numéro 1 reste la vitesse. Et pour lui, une route dégradée encourage les conducteurs à lever le pied !
Le nombre de décès sur les routes françaises a reculé le mois dernier, mais dans une moindre mesure qu'en mai ou juin.
Une fois de plus, l'épisode de fortes chaleurs a entraîné une hausse du nombre de voitures en panne sur les routes françaises, boostant l'activité des sociétés d'assistance.
Entre Antibes et Nice, la limitation de vitesse pourrait être abaissée le 1er octobre. Mais ce n'est pas pour une question de sécurité routière.
L'épisode de pollution à l'ozone se poursuit. Des voitures seront bannies de la circulation à Lyon, Strasbourg, Annecy, en Ile-de-France et en Isère.
Aussi diffusée en France, cette pub montre un accident évité par le freinage d'urgence automatique. Un scénario qui selon les Anglais encouragerait la conduite dangereuse.
Sur deux portions, la limitation vient de passer de 130 à 140 km/h. Si le test est concluant, la mesure sera rapidement étendue.
Deux confirmations après la publication du bilan 2017 : l'autoroute représente une très faible partie de la mortalité routière et les accidents sur le réseau rapide sont avant tout causés par la fatigue.
Le nouveau système de mesure WLTP impose aux constructeurs une nouvelle homologation de toute leur gamme. Renault se dit "en ligne" avec son planning et pense que ses ventes ne seront pas perturbées.
Le préfet du Var a confirmé que les radars placés sur les routes désormais limitées à 80 km/h flashent deux fois plus depuis le 1er juillet.
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