Nouveau rebondissement dans l'affaire Volkswagen : l’agence américaine de protection de l'environnement affirme que la tricherie sur les émissions polluantes concerne également le bloc V6 3.0 TDI, qui équipe aussi des Audi et des Porsche. Le groupe VW dément l'information.
A force d'aligner les zéros sur la facture de l'affaire Volkswagen, on finit par perdre de vue sa réalité : une tricherie minable sans la moindre conséquence sanitaire et sans autre vrai coupable qu'un management imbécile qui distillait la peur.
L'association écologiste Greenpeace a établi un classement des constructeurs automobiles les plus actifs auprès des institutions européennes. Et le champion du lobbying est Volkswagen, qui en 2014 a dépensé 3,3 millions d'euros pour défendre ses intérêts à Bruxelles.
Le gouvernement français, en pleine tempête du scandale Volkswagen sur les diesels, cherche à tout prix à les « éliminer » du parc automobile. Cela passe par de nouvelle aides, comme le superbonus de 10000 € accordé à l'achat d'une électrique en échange d'un vieux de diesel de 15 ans ou plus. Cette règle vient de changer et passe maintenant à 10 ans.
C'est hier qu'ont débuté à Montlhéry, sur les installations de l'UTAC, les premiers tests de pollution sur les 100 véhicules tirés au sort. Ségolène Royal était là, et nous en avons appris un peu plus sur la méthodologie de ces contrôles "anti-triche".
Le 90 km/sur autoroute n'a pas fini de faire parler. Un véritable feuilleton de l'été, suivi de près par les automobilistes hexagonaux. Et ces derniers, manifestement, ne veulent pas de cette mesure. Une pétition lancée par la Ligue de Protection des Conducteurs a déjà recueilli 177 500 signatures.
La pollution de l'air coûte plus de 100 milliards par an à la France. Telle est la principale conclusion du rapport établi par une commission d'enquête sénatoriale rendu public ce mercredi. Une évaluation qui intègre à la fois les conséquences sur la santé, les bâtiments, la biodiversité et l'agriculture. Bien sûr, les transports font partie du problème. Mais les sénateurs ont des solutions...
L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (Ademe) est claire : les Français achètent de plus en plus de véhicules "peu polluants". En 2014, les autos rejetant moins de 100 grammes de CO2 ont représenté 26,3 % du marché, soit 2 fois plus qu'en 2012.
Il semblerait que le seuil de tolérance ait été atteint chez les constructeurs automobiles mis sur la sellette des politiques soucieuses de la protection de l'environnement. En cause, cette stigmatisation d'un diesel qui reste économiquement
C'est quand même bizarre cet acharnement de Ségolène Royal contre le diesel. Pile au moment où il devient vraiment propre. Et après qu'on l'ait laissé nous enfumer tranquille pendant des lustres. Pas très scientifique tout ça. Psychologique alors ?
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