James May ne parvient pas à trouver une Aston-Martin qui lui convienne, la pauvre petite chose. Les DBS, V8 Vantage S et V12 Vantage, développées au Nürburgring, sont trop extrêmes pour lui, manquant cruellement de confort. A l'opposé, une DB9, si elle épargne son dos, ne lui provoque pas l'excitation qu'il recherche.

Heureusement, le constructeur de Newport Pagnell a peut-être la solution intermédiaire pour le Captain Slow : la toute nouvelle (si si !) Virage. Même ligne, même V12 de 5,9 l dans une déclinaison à 497 ch, mais réalise-t-elle enfin le compromis parfait entre confort et tenue de route ? Découvrez-le ci-dessous.