La question de l'entrée au capital de PSA Peugeot Citroën de l'État français et du constructeur chinois Dongfeng a fait l'objet d'intenses discussions au sein du Conseil de surveillance du groupe où siègent plusieurs membres de la famille Peugeot. Thierry Peugeot, vice-président, ne voulait pas de cette ouverture du capital qui signifiait une perte de contrôle du groupe et s'est longtemps opposé au reste de sa famille favorable au schéma qui a finalement été choisi d'un contrôle tripartite partagée entre les 3 entités cités.
Mis en minorité, les jours de Thierry Peugeot au sein du Conseil de surveillance de PSA étaient comptés, le dernier a eu lieu hier, date à laquelle les autres membres du Conseil ont voté son remplacement par Marie-Hélène Romboroni qui n'est autre que sa sœur.
Le Conseil a par ailleurs proposé Frédéric Banzet pour remplacer Jean-Philippe Peugeot comme censeur.
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