Jeu de main, jeu de vilain dit-on et pour le coup ce sont des gants dits de « palucheurs » qui constituent la pomme de discorde. Après un contrôle à la sortie du travail, ces gants auraient été découverts dans le sac personnel de l'employé de fait soupçonné ni plus ni moins de vol. Mais l'accusé ne met pas les pouces pour autant.
Le syndicat CGT lui prête d'ailleurs main forte en parlant d'une paire usagée et d'un oubli, tout en précisant que la démarche est partagée par un grand nombre d'employés. La direction, elle, parle de gants autres que ceux que la personne aurait dû avoir au vu de ses responsabilités. Ce qui veut dire qu'il n'avait rien à faire avec.
On en est là et la même direction précise que l'on en est au stade de l'entretien préalable au licenciement, une étape qui n'aboutit pas fatalement à la perte de l'emploi. Elle dispose d'un mois pour notifier sa décision à l'ouvrier. Mais cette conjoncture a fait monter d'un cran la tension à Poissy. Une cinquantaine de salariés se sont rassemblés pendant une heure à l'appel de la CGT, deuxième syndicat après FO sur le site pour marquer le coup sur cette affaire en cours.
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