Dans le sondage qui a élu Marion Jolles, plus belle femme du paddock, il y avait d'autres résultats à analyser. C'est une première, 20 des 24 pilotes F1 en activité ont répondu à un questionnaire de façon anonyme et les résultats sont surprenants. Lewis Hamilton se distingue en étant élu pilote le plus antipathique !

Bild am Sonntag a réussi pour la première fois à obtenir de la majorité des pilotes de la grille F1 2010 des réponses à des questions assez indiscrètes. Sous couvert de l'anonymat, 20 pilotes sur 24 (les pilotes Renault et Williams n'ont pas répondu) ont rendu leurs réponses dont la synthèse est parfois surprenante.

  • -On le sait déjà, Marion Jollès a été élue femme la plus belle du paddock devant Nicole Scherzinger. Ce que l'on sait moins, c'est qu'une des réponses à la question fut « Nico Rosberg » et une autre Barbie. 10 pilotes ont voté pour leur propre femme !
  • -La course la plus dangereuse de la saison : c'est Monaco qui l'emporte devant Suzuka, Singapour, Spa et Montreal.
  • -Quel est le meilleur pilote de tous les temps : Ayrton Senna 12 votes devance Schumacher 3 votes et Prost 2 votes. Hunt, Clark et Rindt, 1 voix.
  • -Quel est le meilleur pilote actuel : Fernando Alonso avec 9 voix est assez loin devant Button et Hamilton, 2 voix, et Vettel, Schumacher, Glock, Kovalainen et Chandok, 1 voix chacun. Qui a voté pour lui même ?
  • -Qui sera champion du monde (le sondage fut réalisé lorsque Hamilton était en tête du championnat) : 8 votes vont à Hamilton et 6 à Vettel. Button, Alonso n'ont que 2 voix chacun, Webber ne reçoit aucune voix. Comme on note 2 abstentionnistes, on peut en déduire qu'il en fait partie !
  • -Quel est le pilote le plus antipathique ? Hamilton 3 votes devance Alonso et Schumacher, 2 votes. Vettel, Kubica, Glock, Sutil, Senna, Di Grassi, R Schumacher, J Villeneuve récoltent 1 voix. On note certaines rancunes tenaces !


Bild précise tout de même que les réponses données par les pilotes, allemands notamment, n'ont pas toutes été faites avec le plus grand sérieux. On l'avait compris.