Aujourd'hui, la moitié des villes françaises de plus de 200 000 habitants a choisi de passer une part significative de sa flotte de bus au GNV. En France également, plus de 750 véhicules de propreté sont en circulation.
Voici des exemples de mesures instaurées par des villes françaises :
- la Ville de Paris mise sur le GNV : certains véhicules du parc de la ville et des véhicules de propreté de la ville roulent au GNV ; 90 bus de la RATP tournent au GNV ; des véhicules JC Decaux assurant la régulation des Vélib' fonctionnent au GNV ; en octobre 2008, Monoprix a choisi GNVERT pour régler le problème des derniers kilomètres
d'acheminement pour la livraison de ses produits en magasin (les camions livrant sur Paris transitent depuis la gare ferroviaire de Bercy en passant par la station GNVERT située à quelques pas qui les approvisionne en GNV) ;
- la Ville de Poitiers a opté pour le GNV pour le transport public et a développé le système d'auto-partage Otolis composé de véhicules GNV ;
- la Ville de Bordeaux a instauré fin 2008 le disque vert : il autorise notamment les véhicules GNV à stationner gratuitement pendant 1h30 en centre-ville ;
- à Dijon, à Caen, à Rouen, à Clermont-Ferrand, à Lille et à Montpellier, dans le domaine de la propreté : la plupart des grandes entreprises de service utilisent des bennes à ordures au GNV.
En conclusion, de plus en plus de villes en Europe adoptent le GNV car il permet en fait d’éviter les restrictions de circulation (péages urbains, dispositifs dans le cadre de pics de pollution) et de faire baisser les coûts liés aux transports.
Affaire à suivre !
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