L’atypique monospace américain, a littéralement revécu dès l’apparition de la 4è génération. Auparavant le bilan fiabilité du Chrysler Grand Voyager est plutôt médiocre.


Date de commercialisation : 1996

Motorisations :

Essence : 2.4 SE ; 3.3 V6

Diesel : 2.5 TD

Le niveau de fiabilité du Grand Voyager laisse à désirer, tout du moins sur la troisième génération (à partir de 1996). Premier constat : les motorisations diesel TD souffrent de gros problèmes. Culasses fragiles, chaîne de distribution sujette à de nombreuses casses et fuites de la pompe à eau. Sur les trains roulants, méfiance concernant la direction assistée. La crémaillère résiste peu au temps. Ce phénomène créé un flottement qui entraîne une usure prématurée des pneumatiques avant. A l’intérieur, les finitions laissent à désirer avec des plastiques bon marché qui grincent et des tissus fragiles. Nombreuses pannes électriques également lorsque ce n’est pas l’autoradio qui se dérègle ou la fermeture centralisée qui fait de siennes. Compresseur de clim’ souvent HS.

Rappels :

1997 : frein de stationnement défectueux.

Vieillissement :

Usure prématurée des pneus

Fermeture centralisée

Plastiques fragiles

Présence d’humidité

Contrôle technique :

Taux de contre visite : 18,29 %

Entretien :

Budget entretien par an : 670 €

Pièces détachées :

- Filtre à air 16,46 €

- Filtre à huile : 9,49 €

- Jeu de 4 plaquettes de frein : 68,55 €

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