L'ancien directeur technique de Ferrari vient de faire plusieurs déclarations pour clarifier son retour en Formule 1, tordant le cou, par la même occasion, à bon nombre de rumeurs circulant depuis son retrait.
Priorité à la Scuderia ! C'est en substance ce que Ross Brawn a fait savoir au magazine Autosport.
« Pour être franc, j'ai reçu quelques appels téléphoniques de différentes personnes et j'ai répondu la même chose à tout le monde : je n'entamerai aucune discussion tant que ma situation avec Ferrari ne sera pas clarifiée. Au mois de juillet, j'en saurai plus sur ma situation. S'il ne m'est pas possible de retourner chez Ferrari alors j'étudierai les opportunités qui se présentent. »
Ce qui est sûr, c'est que Ross Brawn souhaite se voir proposer autre chose qu'un poste de responsable technique : « j'ai un lien d'allégeance avec Ferrari mais je ne suis pas sûr de vouloir revenir au poste que j'occupais juste avant de partir. Certaines personnes ont pris des responsabilités et elles font un bon travail. Ce serait injuste de ma part de les déloger donc ce pourrait être un retour dans un rôle différent ou dans celui que j'occupais quand je suis arrivé chez Ferrari, celui de quelqu'un qui restructure l'écurie. »
En cas de désaccord avec la Scuderia, Brawn pourrait néanmoins se tourner vers d'autres écuries (il aurait été approché par Honda et McLaren). Mais pour le moment, il a clairement affiché son objectif : « j'aimerai trouver une solution avec Ferrari parce que j'étais très heureux là-bas. » Plus de précisions cet été.
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération