Maintenant que l'on connait le TT, le roadster dévoilé à Paris n'est pas une surprise sur le plan esthétique. Il faut s'approcher d'ailleurs de ce TT pour saisir toutes les subtilités du dessin. Ses plis, ses débords, ses prises d'air ne surjouent pas comme c'est de plus en plus la tendance de nos jours. Le dessin plus cohérent et plus homogène que le précédent fonctionne également très bien que la capote - en toile beige, gris ou noir – soit repliée ou non. Notez que cette dernière ne demande que 10s pour se ranger ou se remettre en place et ce jusqu'à 50km/h. Audi annonce aussi un poids en baisse de 3kg qui s'ajoutent à ceux gagnés grâce au nouveau châssis.



Le TT Roadster reçoit comme le coupé la nouvelle interface MMI à 6 touches, il faut accepter de dire que la finition de l'habitacle touche à la perfection avec notamment les aérateurs à affichage intégré ou encore l'Audi Virtual Cockpit qui transforme le combiné d'instrumentation en écran d'affichage et permet dans le même temps d'épurer le dessin de la planche de bord.


Le TT Roadster reprend les mécaniques du Coupé, à savoir le diesel 2.0 TDI 184 ch, et, en essence, le 2.0 TFSI de 230 ch ainsi que le 2.0 TFSI de 310 ch qui équipe le TT-S. Un TTS qui ne réclame que 4,9 secondes pour franchir les 100 km/h. Les deux transmissions (manuelle et automatique S-Tronic) seront proposées tandis que la transmission intégrale Quattro sera de série sur le TT-S.


L'Instant Caradisiac


Découvrir le TT en photo ne suffit pas pour en apprécier vraiment toutes les subtilités. Il faut laisser ses doigts trainer sur sa carrosserie pour percevoir les reliefs, les plis plus ou moins marqués ou encore les prises d'air quasiment invisibles de la face avant. Si on n'aime pas le TT, on ne peut néanmoins vraiment pas en critiquer la qualité et la finesse de sa réalisation. Étonnant.