Après avoir pris plein sud pour la balade d'hier, on fait route au nord pour celle d'aujourd'hui et on quitte définitivement Lisbonne. Une fois de petit déj' envoyé et compte tenu des petits désagréments de la veille.
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Cela aurait vraiment été dommage de passer à Lisbonne sans faire une balade en direction de l'Algarve en plein sud du Portugal. C'est notre programme de la journée qui, comme la veille, s'annonce sous les meilleurs auspices. Encore une fois, c'est ce satané réveil qui sonne.
C'est avec le sourire aux lèvres que l'on se réveille en ce matin du quatrième jour. Il faut beau et le soleil commence sérieusement à chauffer. D'autant plus qu'aujourd'hui c'est repos avec au programme visite de la capitale Portugaise, Lisbonne.
Alors que nous avons raccourcis l'étape de la veille pour éviter la noyade, il semblerait que la journée qui nous attend suive la même lignée. C'est à 8h30 que nous nous réveillons. Un coup d'œil par la fenêtre. . . gloups, on la ferme à double tours.
Toulouse, 6h50. C'est sous un temps radieux avec des températures clémentes que nous arrivons frais comme des gardons dans le sud de la France. Je n'ai jamais été si reposé que de faire presque 700 kms dans ces conditions. Merci la SNCF. . .
Qui n'a jamais rêvé de commencer un trip par une bonne nuit de sommeil ! ? Je ne sais pas pour vous mais pour moi cela me va bien. C'est donc le vendredi 18 avril à 18h que le rendez-vous est donné à l'embarquement de l'auto-train gare de Bercy.
Bien que l'aventure à proprement parler commence le vendredi 18 avril, cela fait déjà quelques mois que l'on en parle. Surtout que pour moi c'est une première, alors je pose pas mal de questions à mes compagnons de route pour qui, c'est loin d'être une première.
Voilà, cela faisait un bon moment que cela me travaillait. L'idée de partir à l'aventure, un peu plus loin que le périphérique parisien. Dans un endroit où les espaces sont vastes, l'air pur, les gens pas les uns sur les autres et où il fait bon rouler avec un grand «R» et un sourire sur le casque.
Pour faire partie de la team des Ducatistes parisiens, il faut remplir certains critères. Le premier et bien entendu le principal critère à remplir est celui de rouler en Italienne. Mais attention, par n'importe laquelle non plus, il faut rouler en Ducati… vous savez les motos championnes de monde 2007 de Moto GP.
Par ce troisième volet, je viens faire le bilan de ce que nous avons évoqué dans les deux news précédents. Dans la première partie de cette série, nous avons traité le cas du sac à dos et de la sacoche de réservoir. Pour ceux ou celles qui l'aurait raté, vous pouvez toujours la retrouver en cliquant ICI.