
Pendant que le Moto GP s'interroge sur sa prochaine physionomie au fur et à mesure que ses écuries se réduisent comme peau de chagrin, le GP125 n'échappe pas à la réflexion globale de réduction des coûts qui a motivé l'arrivée d'un Moto2 à moteur et pneus uniques, en attendant le monopole d'un pétrolier qui devra mettre son précieux liquide dans ces machines qui n'auront plus comme seule liberté d'expression, le châssis.