Voilà des nouvelles encourageantes pour nos espoirs Français de la vitesse moto. Figurez-vous que nos pilotes de pointe en Superbike intéressent au plus haut point les acteurs des Grands Prix. Démonstration avec Loris Baz et Florian Marino.
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Le team Caterham en Grand Prix moto est en passe de connaître le même sort de l'écurie éponyme en Formule 1. Normal puisque les deux sont la propriété du Malais Tony Fernandes qui se déleste depuis quelque temps de ses projets sportifs en même temps que sa compagnie aérienne Air Asia bat de l'aile.
On le sait, Michelin remplacera Bridgestone en tant que fournisseur unique du Moto GP à compter de 2016. Une échéance très proche à la vitesse où s'écoule le calendrier des Grands Prix. Dès 2015, les Auvergnats se mettront donc à l'ouvragel. Voici leur plan de travail qui commencera en Malaisie.
Silverstone aura vécu le week-end dernier son ultime Grand Prix de Grande Bretagne. Un épilogue que le site attendait depuis que la Dorna s'est promis pour dix ans à un tracé du Pays de Galles. Mais comme celui-ci n'est pas encore sorti de terre, il restait encore un espoir de faire un dernier baroud d'honneur l'an prochain.
Il est un des héros de ce Grand Prix disputé à Silverstone le week-end écoulé. Andrea Dovizioso et sa Ducati ont brillé en Grande Bretagne, tant aux aux essais qu'en course. Une configuration parfois déjà vue cette saison grâce à un règlement bien exploité par les rouges. Certes.
Le Grand Prix de la République Tchèque ne date que de deux semaines. Mais il semble déjà être une éternité pour un Dani Pedrosa bien loin à Silverstone de ses performances enregistrées à Brno. Le Grand Prix de Grande Bretagne n'est décidément pas la tasse de thé de l'Espagnol.
Valentino Rossi n'avait encore jamais eu l'occasion de goûter le champagne à Silverstone, théâtre ce week-end du Grand Prix de Grande Bretagne. Voilà qui est fait. Une aubaine puisque le « Doctor » y célébrait son 246ème départ, soit plus qu'un Alex Barros à la carrière certes honorable mais moins prolifique.
Petit à petit Jorge Lorenzo se reconstruit. A Silverstone, il a accompli un bon Grand Prix de Grande Bretagne qui était pourtant bien mal engagé avec une Yamaha hors du coup. Mais le travail a payé et après une bonne qualification qui lui a assuré la première ligne, il a mené un rythme d'enfer en tête de la course que seul ce diable de Marquez a pu suivre.
Parti de sa dixième position de pointe de l'année, Marc Marquez s'en est allé glané son onzième succès de la saison. Ceci en douze occasion consommées. Le champion du monde a donc repris le cours de sa campagne après le contre-temps tchèque. Ceci dit, il a fallu braver la grosse tempête Lorenzo qui n'est plus en dépression pour arriver à bon port.
Agacé en République Tchèque par des problèmes techniques qui l'ont contraint à baisser pavillon pour la première fois de la saison, Marc Marquez a de nouveau hissé haut ses couleur en Grande Bretagne.
