Selon l’Agence Internationale de l’Énergie, il n’y aura pas de pénurie de pétrole à court terme. Malgré l’isolement de la Russie, une hausse de la production des autres pays producteurs et un ralentissement de la demande devraient éviter tout risque de manque de pétrole.
Après une flambée inédite, le prix des carburants retrouve une certaine raison. Après une première baisse constatée depuis le 1er avril et la mise en application de la mesure gouvernementale, les tarifs des différents carburants ont de nouveau baissé la semaine dernière.
Guerre en Ukraine, urgence climatique, dépendance énergétique, réserves en baisse, flambées des prix, consommer moins de pétrole n’a jamais été aussi urgent. Alors, comment l’économiser ? En le subventionnant ?
Voilà plus d’un mois que Vladimir Poutine a décidé de bouleverser l’équilibre du monde en prenant la décision d’envahir l’Ukraine. À notre niveau, la conséquence du conflit la plus visible a été l’augmentation du prix des carburants. À cette hausse significative, on peut ajouter l’incertitude qui règne autour de la production de Gazole, un carburant encore largement dépendant du gaz russe.
Selon l’Agence Internationale de l’Energie, abaisser les limitations de vitesse sur autoroute permettrait de réduire drastiquement notre dépendance au pétrole, qui vient en grande partie de Russie.
Dès le 1er avril, la remise de 10 centimes déjà mise en place par Total sera étendue à toutes les stations françaises et se cumulera à l'aide du gouvernement.
Les conséquences de la guerre en Ukraine iront bien au-delà d’un choc énergétique. Si les armes ne se taisent pas, le cours du pétrole en forme de montagnes russes ne sera qu’un détail dans le tableau.
Secoués par le conflit en Ukraine, les prix des carburants devraient comment à baisser cette semaine. Avec des tarifs frôlant par endroits les 2,50 € le litre, les stations-service sont en première ligne face à la grogne des Français. Une situation intenable pour certains gérants qui ont préféré fermer boutique.
Les prix des carburants ont connu une hausse folle la semaine dernière. Résultat, les prix moyens ont explosé la barre des 2 € le litre.
Lorsque la remise de 15 centimes par litre de carburant prendra fin, le gouvernement mettra en place une aide ciblant les gros rouleurs.