Le prix du litre est aujourd'hui au plus bas, mais voici que le cours du baril commence à remonter, à la faveur du déconfinement progressif et d'économies qui redémarrent.
La production reprend dès cette semaine dans certaines usines du groupe PSA. En France, les sites d'Hordain et de Trémery seront les premiers à redémarrer.
Allez, dernière semaine de confinement obligatoire! Pour fêter ça, offrons-nous quelques minutes de tête à tête avec le grand Ari.
Toyota se met aux masques grand public
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Le constructeur japonais doit fabriquer un total d'un million de masques en tissu, à raison de 250 000 par semaine. Ces masques réutilisables vont devenir indispensables à partir du 11 mai. Voire obligatoires à certains endroits. Mais combien coûteront-ils ? Pas de plafonnement pour l'instant les concernant. Le prix du masque chirurgical a quant à lui été fixé à 95 centimes au maximum.
Si votre contrôle technique est devenu périmé au cours de la période de confinement, n'oubliez pas de prendre rendez-vous à partir du 11 mai.
En Angleterre, comme en France, les excès de vitesse n'ont pas stoppé avec le confinement. S'il est arrivé plus tard qu'en France, il montre déjà ses "résultats" : sur une semaine, la police a noté une hausse de 650 % des excès de vitesse, avec un automobiliste enregistré à 265 km/h.
Pas de surprise : avec les mesures de confinement, les immatriculations se sont effondrées en avril. À peine 21 000 modèles ont été livrés le mois dernier, contre 188 000 en avril 2019.
Un ex-grand patron de l’auto en cavale, des usines à l’arrêt pendant des semaines, un baril de pétrole à prix négatif, l’Ile-de-France sans bouchons… : nous ne sommes qu’en mai, mais on peut déjà affirmer que 2020 restera comme l’année la plus folle de l’histoire de l’automobile. Voici pourquoi.
Les grandes enseignes de distribution de carburant proposeront à la vente dans les prochains jours des masques lavables.
Les chiffres sur la mortalité liée à la pollution de l'air sont assez "vagues" en Europe, mais une étude fait tout de même état de 400 000 décès par an sur le Vieux Continent. Le confinement, en tout cas, n'aurait pas eu que des désavantages : la qualité de l'air améliorée aurait permis de sauver 11 000 vies.