Si la situation était déjà mauvaise pour DS en Chine, elle est devenue également assez catastrophique pour Peugeot et Citroën avec des chutes de ventes vertigineuses. PSA a décidé de prendre le taureau par les cornes en remplaçant le patron de PSA en Chine. Le nouvel arrivant n'est autre que l'ancien responsable de la zone Amérique du sud.
Indice – C'est à peu près le nombre de voitures vendues par Infiniti en France le mois dernier.
C’est un nouveau signe qui confirme les intentions chinoises d’électrifier son marché automobile. Il s’agit du premier mondial et les autorités y ont annoncé, en septembre dernier, qu’elles allaient préparer "un calendrier" vers "une interdiction" de la production et de la vente de voitures à carburants fossiles. Un rêve éveillé, un pari fou ? Que nenni, le courant est lancé et cette dernière nouvelle devrait convaincre les derniers sceptiques sur une ambition électrique assumée dans l’empire du milieu.
C’est un projet pharaonique qui a été révélé au Maroc et il concerne l’automobile électrique. Mieux, on parle d’un écosystème de transport électrique avec cet accord passé entre le Maroc et le géant chinois de la voiture électrique « BYD ». Un trigramme pour « Build Your Dreams », une enseigne ambitieuse et dans l’ère du temps puisque spécialiste des engins à batteries. Un nom qui s’implantera aussi en France. Le premier volet d’une domination chinoise annoncée dans le monde de la mobilité ?
Le cabinet d'analyse Jato Dynamics dévoile une intéressante étude sur la situation actuelle de l'électrique dans le monde. La Chine domine très largement les ventes avec 227 000 unités commercialisées en 2017, loin devant le deuxième marché : l'Europe.
L'affaire du dieselgate, sortie en septembre 2015, a aujourd'hui des conséquences inattendues pour les autres groupes automobiles. Selon nos confrères des Echos, PSA serait désormais contraint d'importer des moteurs essence de Chine face au déclin du diesel et à la forte demande pour les essence en Europe.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, en a remis un coup dans le pare-chocs : plus une seule voiture thermique ne sera acceptée dans la capitale en 2030. Ne circuleront plus, outre les bus de la RATP, que des vélos et des voitures électriques. Préparez-vous à rouler en chinoise…
C’était une annonce aussi attendue que redoutée par un univers automobile qui ne peut se passer de la Chine. Ce pays est en effet le premier marché mondial avec ses 28 millions de véhicules vendus en 2016. Or, cet empire du milieu a décidé de sortir de l’énergie fossile et donc des moteurs à combustion pour rendre l’air plus respirable dans ses villes. La longue marche vers l’électrique a donc été prononcée et ce sera même à allure forcée puisque des quotas seront exigés dans les ventes des constructeurs. Une politique qui sera mise en œuvre en 2019 et qui montera en puissance.
Les rappels de véhicules en Chine ont repris avec une certaine ampleur. Volkswagen vient d’y passer avec un rappel de 4,86 millions de ses voitures. Le voilà suivi par le constructeur qui est son dauphin sur ce premier marché mondial. En l’occurrence, la General Motors, qui va faire la moitié du même effort avec la convocation de 2,5 millions de ses modèles. Les deux sont les conséquences collatérales du scandale des airbags Takata qui a déjà contraint plus de 100 millions de véhicules de par le monde à repasser par leurs ateliers.
Elle est la vedette de l’actuel Salon automobile de Francfort, elle est celle qui semble réconcilier l’automobile avec son environnement et avec les politiques et elle semble être celle qui redonnera à l’automobile sa vertu salie par les émanations du diesel. Celle-là est la voiture électrique, silencieuse, vierge en CO2 et qui peut même être ludique si l’on aime les départs arrêtés. La panacée ? Il faut voir plus large et plus loin. Et découvrir l’ensemble des enjeux. Terrifiant.