Selon Autobiz, le stock de seconde main ayant moins de 7 ans a fondu de 10 % en l’espace d’un mois chez les pros.
L’emballement tarifaire que nous connaissons depuis plusieurs mois, principalement dû à un manque de voitures en vente, appartient-il au passé ?
Une étude menée conjointement par CGI Finance et C-Ways, réalisée auprès de 2 000 acheteurs, montrent de profonds changements dans la façon d’acquérir un véhicule de seconde main.
Au mois de février, les concessionnaires et revendeurs indépendants ont continué à perdre des parts de marché.
Les ventes de voitures de seconde main ont, une nouvelle fois, dévissé. Le début d’année 2023 est donc bien morose.
Après s’être adaptés aux contraintes de la crise sanitaire, puis aux pénuries liées à la crise des semi-conducteurs, en décidant la plupart du temps de prolonger les contrats de leurs clients flottes, les loueurs ont désormais décidé de passer au plan « B » : la fourniture de véhicules d’occasion.
Dans la continuité de 2022, le mois de janvier se termine par une baisse significative du nombre de transactions.
Les ventes de Peugeot ont diminué dans le monde en 2022. Le constructeur relativise cette baisse en expliquant que la marque s’exporte un peu mieux d’Europe, où la situation est la plus compliquée.
En une année, le prix des voitures d’occasion affiche une augmentation moyenne de 19 %. Malgré tout, le marché semble se stabiliser depuis le deuxième semestre 2022, avec une tendance à la baisse pour les occasions les plus récentes. C’est ce que révèle le dernier Observatoire du Groupe La Centrale, qui analyse en détail le marché de la seconde main.
La baisse des ventes enregistrées en 2022 fait retomber ce marché au niveau de 2019.
