Selon Bugatti, la Veyron prend autant de valeur qu'une ancienne
Bugatti se félicite aujourd'hui d'avoir une Veyron qui garde une cote en progression et soutenue en seconde main. La crainte d'avoir des Bugatti "modernes" qui perdent de leur valeur s'éloigne, même s'il faudra suivre de près la tendance pour la Chiron.
Une ancienne Bugatti est toujours un bon placement financier, mais qu'en est-il des Bugatti de l'ère moderne ? Cas de l'EB110 mis à part (années 90), la situation semble être plutôt bonne pour les Bugatti actuelles. Le constructeur de Molsheim vient en effet d'annoncer que la Veyron a connu une belle progression de sa cote entre 2011 et aujourd'hui. Si elle s'est d'abord un peu effondrée lorsqu'elle était encore au catalogue (ce qui est logique), depuis son arrêt et la livraison du 450e exemplaire, la valeur résiduelle de la Veyron ne cesse d'augmenter.
"Les voitures d’occasion récentes atteignaient en 2011 un prix de 620 000 euros en moyenne lors de ventes aux enchères internationales et chez les vendeurs ; deux ans plus tard, le prix était déjà de 730 000 euros. À l’heure actuelle, il est presque impossible de trouver une Veyron sur le marché au-dessous d’1,3 million d’euros. Les véhicules sont également négociés à des prix encore plus élevés selon le modèle", précise Bugatti dans son communiqué.
Pour connaître la première tendance concernant la Chiron, il faudra attendre la vente du 100e exemplaire sur les 500 prévus au total pour la production. Rappelons quand même que la Chiron est facturée 2,5 millions d'euros, soit plus de deux fois le prix moyen de vente d'une Chiron. Garder une valeur supérieure dans le temps sera donc un sacré défi.
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