Rappel : risque d’incendie sur le Hyundai Nexo
De tous les rappels, celui-ci est l’un de ceux qui concernent le moins de véhicules dans notre pays. Mais la technologie qui se cache sous le capot mérite que l’on s’intéresse à lui.

Coûts de fabrication et de vente exorbitants, absence d’un réseau de distribution du carburant digne de ce nom… les obstacles que doivent surmonter les voitures à hydrogène dans notre pays semblent, pour le moment, insurmontables. À ce jour, seuls deux constructeurs proposent d’ailleurs ce type de propulsion dans l’Hexagone : Toyota avec la Mirai et Hyundai avec le Nexo.
C’est ce dernier, un SUV familial, qui nous intéresse aujourd’hui. Il fait, en effet, l’objet d’une opération de correction que le constructeur a référencée 21D044. Celle-ci concerne les exemplaires produits à partir du 18 décembre 2017 et jusqu’au 5 octobre 2021. En France, il est possible de compter le nombre de ces autos sur les doigts de la main.
Le problème qui les touche n’en est pas moins potentiellement grave et mérite une correction rapide afin d’éviter que cette technologie ne connaisse le même sort, en son temps, que le GPL, plombé par des problèmes d’incendie et d’explosion.
Si le deuxième cas de figure semble ici exclu, le premier est clairement évoqué dans le rapport que le constructeur coréen a envoyé aux autorités européennes. En effet, sur les Nexo précités, Hyundai indique qu’un dysfonctionnement des capteurs d’hydrogène est possible. De potentielles fuites de ce gaz ne seraient alors plus détectées.
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