Le long-métrage de Didier Barcelo se déroule presque entièrement à bord, ou à côté, d'un break Volvo 240 jaune. Un road trip en voiture de plus dans la grande tradition du cinéma ? Sauf que celui-ci est servi par des comédiens exceptionnels, et par une réalisation étonnamment juste et mature pour un premier film.
Le road-trip de la rédaction de Caradisiac en Suède a été l'occasion, bien sûr, de réaliser des essais longue durée de cinq voitures de la gamme, qui seront bientôt publiés. Mais il a également été l'occasion de se plonger au cœur de l'histoire de la marque. Et le passage, durant le dernier jour de notre périple, au musée Volvo, en aura été le point d'orgue. Suivez donc le guide...
Oui, le plaisir automobile peut venir sous plusieurs formes, même sous celle d'une brique suédoise. Avec des airs aristocrates à l'instar d'une Jaguar XJ6 ou d'un Range Rover, la Volvo 240 Break a fait partie du décor de la jeunesse de nombre d'entre nous, que ce soit dans la rue ou dans les feuilletons américains. Après une vingtaine d'années de production, c'est devenu l'emblème du break Volvo pouvant embarquer jusqu'à 2 m3 une fois la banquette arrière rabattue avec deux mètres de longueur de chargement.
Les récentes productions de chez Volvo tentent de se démarquer des voitures carrées d'autrefois. Pourtant, la Volvo 240 a marqué l'histoire de l'automobile. Elle fête cette semaine ses 40 ans.
Typiquement le genre de préparation dont je suis fan à 300 % ! Une base rustique à souhait pas vraiment taillée pour la performance, un break Volvo dans le cas présent, et une transformation virile le transformant en une bombe roulante.
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