Avec un 2 litres qui frole 200 chevaux et au couple omniprésent, un train avant de course disponible sur les versions 4x4, un régulateur de vitesse adaptatif de seconde génération, l'Opel Insignia qui arrive en milieu de carrière vise maintenant les amateurs de grandes familiales Diesel dynamiques.Double essai de ce BiTurbo en carrosserie break, en version Adaptive 4x4 à châssis SuperSport (avec train avant de l’Insignia OPC), et en simple traction.
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La marque à l'éclair entreprend actuellement de gros efforts pour renouveler sa gamme. Dans la foulée de la nouvelle Astra, Opel présentait récemment son Meriva seconde mouture. Mais le constructeur allemand n'arrête pas pour autant de soigner son Insignia, cette berline qui marquait clairement sa volonté de se rapprocher des standards premium lorsqu'elle débarquait sur le marché à la fin de l'année 2008. Après la construction de sa gamme générale puis l'arrivée de la terrible variante OPC, l'Insignia propose désormais la possibilité d'associer une motorisation diesel avec la transmission intégrale. Nous sommes allés essayer cette nouvelle formule sur les routes italiennes bordant le Lac Majeur.
Le catalogue Opel propose de véritables breaks depuis plus de 50 ans. L’Insignia qui apparaîtra au printemps dans sa déclinaison break, avec en prime deux nouvelles motorisations, a-t-elle assez de coffre pour succéder à l’ancienne Vectra break ?
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