Il échange sa Tesla Model S contre une Chrysler V8 et est le plus heureux des hommes
Après deux ans passés au volant d'une Tesla Model S, et nombre de déceptions, un conducteur américain a décidé d'en changer contre une Chrysler 300C à moteur V8. Et depuis, il "ne pourrait être plus heureux", selon ses dires.
On démarre la journée au son d'un bon gros V8 Hemi, monté dans une Chrysler 300C. C'est en effet celui que peut apprécier désormais "Jack B.", un Américain qui a décidé de troquer sa Tesla Model S, avec laquelle il a roulé pendant 2 ans, contre une bonne vieille thermique des familles, dotée d'un des plus mélodieux (et gourmand !) V8 américain.
Et lui qui était fort déçu de sa précédente acquisition, a désormais le sourire aux lèvres, puisqu'il affirme "I couldn't be happier", soit : "je ne pourrais être plus heureux".
Mais qu'est-ce qui a bien pu pousser le bonhomme à sortir de la mouvance électrique, et à opérer une volte-face aussi spectaculaire ?
Eh bien c'est qu'il était fort déçu des prestations de sa Model S, acquise un peu plus de 86 000 dollars, ainsi que de la qualité du SAV. Selon lui, dans sa Tesla, on trouvait des moquettes que l'on pouvait trouver dans une Corolla, les ajustements de panneaux de carrosserie étaient "aussi mauvais que ce que tout le monde dit", l'écran jaunissait au bout de deux ans... Et côté service après-vente, il lui a fallu attendre 3 mois et payer 1 000 $ pour un rétroviseur fissuré.
De plus, en passant à la 300C SRT8 et son V8 de 476 ch, il a aussi "résolu tous les problèmes" de sa Tesla, à savoir, selon son jugement :
- L'absence de bruit
- L'absence de boutons
- Un intérieur généralement inconfortable
En effet, niveau bruit, ça doit le changer, c'est une certitude. Il déclare qu'aujourd'hui, il "adore entendre un V8 quand il appuie sur les gaz", et qu'acquérir un V8 Hemi avait toujours été un rêve, mais qu'il ne voulait pas d'une Dodge Charger, mais plutôt une 300C, qu'il considère comme une des voitures les plus sous-estimée du marché.
Avec elle, il en a aussi fini avec l'écran tout-puissant, et il en avait marre "de pratiquement risquer de crasher sa voiture à chaque fois qu'il voulait changer la température de la clim".
Toutefois, il est conscient des défauts des modèles Chrysler, mais ajoute-t-il encore : "ma Tesla m'avait préparé à ça"...
Son mot de la fin ? "Alors que l'ère des véhicules électriques est à nos portes, j'encourage tous ceux qui en veulent un à faire des folies pour un V8 de la vieille école, pendant que vous le pouvez. Je ne le regrette pas."
Y a-t-il vraiment encore quelque chose à ajouter ? Comme quoi si la majorité des conducteurs passent du thermique à l'électrique, il y en a d'autres qui font le chemin inverse, et qui ne s'en portent pas plus mal. Du moins au pays de l'Oncle Sam.
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