Numéroté et produit en 500 exemplaires, le Ducati Diavel Titanium s'habille de carbone et de titane. Finition artisanale à la main, matériaux nobles et prix en conséquence pour ce Ducati Diavel décliné en 500 exemplaires. Le fabricant italien dégaine une machine pour le moins réussie qui ne tombe pas dans le too much, bien au contraire !
Né en 2011 le Ducati Diavel se refait une beauté cette année. Présenté il y a quelques semaines, le sport-cruiser dernière génération arrive en concession. 2011, Ducati présentait un certain Diavel, un sport-cruiser pour le moins musclé capable de jouer les gros bras lorsque l'on essore la poignée sans pour autant jouer les éléphants dans un magasin de porcelaine une fois en ville.
La dernière génération des Diavel se félicitent de son moteur bicylindre à double allumage Testastretta 11° et de son nouveau regard rendu plus beau avec du LED. Il convient maintenant de convaincre le client pour l'adopter ou les inconditionnels du modèle pour le fidéliser.
La nouvelle Diavel est arrivée en déployant au salon de l'automobile de Genève ses ailes. Une moto sulfureuse dont les atours tenteraient bien le motard de tirer le diable par la queue pour se damner avec elle sur les routes en menant un train d'enfer.
La rumeur d'un nouveau Ducati Diavel courait depuis déjà quelques jours et l'apparition de la bête était promise pour le Salon de l'automobile à Genève. L'événement suisse bat actuellement son plein et la sulfureuse moto a effectivement fait son apparition. Pour confirmer l'adage qui veut que le diable se niche dans les détails.
La sulfureuse Diavel de Ducati n'est pas ce que l'on pourrait appeler u modèle suranné dans la gamme du constructeur. Le custom à la sauce bolognaise qui se fait aussi à ses heures GT en mode TGV va pourtant être toiletté par ses géniteurs. Un résultat que l'on devrait découvrir dès le 3 mars prochain au prochain Salon de Genève.
Le Diavel s'invite dans le dernier film de Kenneth Branagh, "The Ryan Initiative". Pour le long métrage, au guidon de Chris Pine la Ducati se met dans tous ses états pour faire vibrer le téléspectateur.
Roland Sand est connu pour ne pas construire sur du sable. Au contraire, il a les pieds bien sur terre et sait faire des machines dont le but est de faire mordre la poussière à tout ce qui roule. Voici son dernier délire, une Diavel qui quitte sa tendance custom et s'éloigne d'une vocation GT voulue par ses géniteurs pour affirmer encore un peu plus ses gènes sportifs.
Spies vend son Diavel. La Ducati de l'ami Ben avec laquelle il a participé au concours de « runs » (lors du Grand Prix d'Indianapolis) est à vendre. Il faut bien dire que l'italienne n'a plus grand chose à voir avec la version d'origine.
Comment dire. . . Il est des stratégies marketing qui sont frappées du sceau du courage. Ceci si l'on part du postulat que l'équipe qui a décidé d'associer son produit avec ce qui suit n'a eu de cesse de débattre, de se projeter, de soupeser, d'analyser.
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