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Si la réputation et les aptitudes de franchissement du Toyota Land Cruiser ne sont plus à démontrer, ses dernières générations ne pouvaient en revanche pas avancer leur sex-appeal pour séduire face aux ténors du segment. Un grief auquel le nouveau millésime remédie, tout en se montrant plus redoutable que jamais hors du bitume.
Aujourd’hui, la France dit au revoir à une icône de l’automobile, le Land Cruiser. Pénalisé par le malus écologique, le baroudeur de Toyota ne sera pas remplacé en Europe par son successeur, le 300. Essai de la version 5 portes 2.8 204 ch.
Du nouveau sur la gamme Land Cruiser. Toyota propose désormais une nouvelle définition de son 4 cylindres diesel 3.0. Une évolution qui lui permet d’atteindre 190 ch et surtout de passer les normes Euro 5. Suffisant, face à une concurrence adepte du V6 ?
La 7e génération du Land Cruiser ressemble à première vue à un gros restylage du précédent, plus qu’à l’éclosion d’un véritable nouveau modèle. Ce premier double essai, avec une version abordable à boîte manuelle et une autre full-options à transmission automatique, tous deux avec l’unique motorisation Diesel proposée, permet de se faire une bonne idée des progrès réalisés depuis 2003. En piste.
Auréolé de son titre de 4x4 de l'Année avec sa motorisation Diesel 165 D-4D, le nouveau Land Cruiser dispose aussi dans sa gamme d'une puissante version V6 à essence, accouplée exclusivement avec une boîte automatique. Uniquement pour quelques rares clients encore réfractaires au gazole ?
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