Regardons à gauche et regardons à droite.
Débraillé, il ne se rendrait même pas à la rédac’, à moins d’avoir été dépouillé sur le chemin après avoir effectué un détour par quelque bureau de poste pour envoyer un billet au service presse de Toyota en remerciement du prêt d’une Prius. Il est comme ça « notre François Chapus » ; et nous ne le laisserions pour rien partir vers d’autres destinées.
S’il devait s’agir d’une série estivale, elle serait sans doute très mauvaise et peu divertissante ; pas du tout rafraîchissante, bref tout le contraire du tube de l’été de Caradisiac.
« Seuls, les livres ne se lisent pas ».
Je ne voudrais pas qu’une méprise s’installe en plein centre d’un mauvais vaudeville et je ne souhaiterais pas que la paranoïa dépasse les bornes de nos sens communs. Lors donc j’aime Opel, la marque Opel et ses modèles. Et en disant cela, je donne quelques exemples. J’aime la nouvelle Opel ADAM à laquelle je suis prêt à rendre tous les attributs qu’elle réclame y compris ses plus simples majuscules dont je ne vois vraiment pas ni à quel titre ni en quel honneur je pourrais la priver.
Ces présentations et autres précautions d’usage étant prises (ah oui, mes excuses aussi à ceux qui se répandent en commentaires pour expliquer à quel point j’écris mal, que je ne sais pas écrire : et qu’ils arrêtent ici leur lecture de ce MC), entrons dans le vif du sujet.
Ce soir, le « fond des choses » (*) s’arrêtera sur l’année 1960. Ce soir, le « fond des choses » se situera du côté de Rennes, plus précisément sur la commune de Chartres-de-Bretagne, à l’usine La Janais de PSA Peugeot Citroën.
Mardi 10 juillet dernier, en fin de journée, Patrick nous présentait une vidéo produite et diffusée par Renault. J’emprunte d’ailleurs le titre de ce Minuit chicanes au titre de la news qu’avait alors écrit Patrick.
Revenons donc au programme initialement prévu pour le Minuit chicanes d’hier soir. Si vous avez suivi le précédent, vous ne serez pas surpris de découvrir que, ce soir encore, il est donc de nouveau question de PSA Peugeot Citroën.
En début d’année, je vous avais annoncé une mutation de Minuit chicanes consistant en des invitations adressées à des écrivains, des artistes, des critiques, des chercheurs, des « tout ce que vous voulez ». Carlos Tavares, le boss