C’est un départ qui pourrait passer comme une évolution normale d’une carrière individuelle souhaitée sous d’autres cieux. Mais il intervient dans un contexte particulier qui veut que la personne ainsi concernée s’occupe d’un dispositif de conduite qui est au cœur d’investigations poussées des autorités. Il s’agit d’un certain Jim Keller, responsable du programme d'assistance à la conduite de Tesla, baptisé Autopilot, celui-là même qui intéresse le régulateur des transports américain (NTSB) dans le cas d’un accident mortel. Lien de cause à effet ? A priori, non.