La renaissance de De Tomaso a tourné court. Le crossover Deauville n'a pas attiré les foules et en l'absence de bons de commande et d'argent frais, la firme a fait faillite. Pire, Gian Mario Rossignolo à l'origine de cette résurrection ratée vient d'être arrêté par la police financière italienne qui l'accuse d'avoir utilisé des fonds publics dans des opérations douteuses.
Voici une nouvelle série de quelques brèves concernant l’économie du secteur automobile.
La renaissance de la marque De Tomaso n'aura pas eu plus de succès que les précédentes, les médias italiens annoncent la cessation d'activité de l'entreprise De Tomaso Automobili Spa et la mise en vente de l'usine de Grugliasco.
Des informations en provenance d’Italie semblent confirmer le virage chinois pris par De Tomaso.
Que de mauvaises nouvelles en provenance sur l’avenir de la renaissance de la marque italienne De Tomaso nous parviennent ne nous empêchera pas de revisiter les mythes de cette marque.
La renaissance de la marque italienne De Tomaso a du plomb dans l’aile.
De Tomaso est un nom qui résonne comme une ode à la passion automobile, et la Pantera est l'un des piliers de la sportivité italienne des années 70.
Eh oui, la De Tomaso Pantera première du nom aura connu la grande vie : des déclinaisons multiples, des heurs et des malheurs, de coloris chatoyants, des fans et des détracteurs. Mais, surtout, c’est par sa ligne inimitable qu’elle se sera faite remarquer.
Ne tergiversons pas. Le style de la première De Tomaso du renouveau n’a pas convaincu. Mais alors pas du tout. Au point que l’on espère qu’une chose : que De Tomaso se remette au boulot pour affiner le style de « son machin » insipide.
Depuis la présentation de la De Tomaso Deauville à Genève, Gian Mario Rossignolo a indiqué que le prochain rendez-vous serait la présentation du revival de la Pantera. Cette toute première vidéo captée à la sortie de l'ex-usine Pininfarina de Grugliasco semble montrer le prototype de cette dernière.