Le plan social annoncé par la marque américaine à travers l'Europe est un mauvais présage pour l'industrie automobile du vieux continent en général qui, selon toutes les prévisions, devrait perdre nombre d'emplois.
Michel Holtz
Lui écrireL'histoire du créateur de la marque de Sant'Agata recèle tous les ingrédients qui font les belles romances, de la réussite d'un paysan parti de peu à son opposition au puissant Enzo Ferrari. Pourtant, le film qui retrace sa vie passe à côté de la grande saga qu'il aurait pu être et parvient même à nous rendre Ferruccio Lamborghini détestable. Un exploit.
Endetté, vendu par tranches, le groupe Renault a connu des jours plus glorieux. Pourtant, les agences de notation, et derrière elles, les marchés, croient dur comme fer en l'avenir de l'ex-régie, et au plan ambitieux de Luca de Meo. Ils considèrent même que le grand perdant de la mini-Alliance redessinée il y a quelques jours n'est pas Renault, mais bel et bien Nissan.
Depuis le refus allemand de signer la future directive interdisant les voitures thermiques en 2035, Bruxelles est en panique. Pourquoi l'Allemagne a-t-elle fait volte-face ? Quelle est la position des constructeurs d'Outre Rhin ? Une histoire de politique politicienne et d'une puissante industrie automobile qui semble compter les points et se tient prête, quel que soit le résultat de la bataille.
Que les amateurs de la musique la plus écoutée au monde se réjouissent : en freinant en voiture, ils s’arrêtent 14 m avant ceux qui écoutent du RnB, du metal, de la techno ou de la musique classique. Du moins selon des chercheurs anglais qui ont collé des conducteurs-cobayes sur un simulateur avec des écouteurs dans les oreilles.
Il a acheté la grande berline française il y a près de quarante ans et ne l'a jamais vendue. Quatre décennies plus tard, l'auto de ce retraité du Val d'Oise est toujours aussi pimpante et vaillante. Son secret : un kilométrage très peu élevé pour son âge et un entretien simple mais méticuleux.
Le premier constructeur mondial pourrait bien virer de bord. Et les réticences de son ex-patron, qui va quitter son fauteuil dans un mois, pourraient bien céder la place à l’enthousiasme de la nouvelle direction pour les autos à batteries.
Et si Citroën changeait radicalement de positionnement ? Et si la marque historique de l’innovation et du haut de gamme à la française devenait low cost ? Et si sa nouvelle cible était Dacia, et plus du tout les marques généralistes ? Beaucoup de « si » pour une hypothèse soulevée par Les Echos. Mais si ce gros changement est possible, il est loin d’être certain. Explications.
Si le redressement financier de l'ex-PSA et désormais Stellantis est unanimement salué, le management du patron et redresseur Carlos Tavares l'est moins. Sept cadres dirigeants de la maison Stellantis ont été remerciés en quelques semaines et leurs troupes ne cachent pas leur trouble.
Coup sur coup, deux start-up européennes pleines de promesses sont dans la tourmente. En France, Hopium et ses voitures à hydrogène croulent sous les pertes et en Allemagne, Sono et ses autos solaires ne sont pas plus vaillantes. Les utopies s'écroulent et les vieux constructeurs sont confortés par une évidence : on ne s'invente pas constructeur auto par la grâce d'une simple levée de fonds.