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En augmentation légère mais constante depuis des années, la mortalité des cyclistes pèse de plus en plus lourd dans les chiffres de la Sécurité Routière, puisque la plupart des autres catégories (automobilistes, piétons...) sont stables ou en baisse. La faute à de nombreux facteurs.

Cette fois, les retours prennent le pas sur les départs. Pour ceux qui rentrent, Bison Futé voit rouge sur tout le pays samedi.

Votre famille va s'agrandir avec un troisième enfant ? Attention, peu de modèles accueillent facilement trois sièges-autos à l'arrière !

Le pire week-end est passé, mais le prochain sera encore très compliqué, avec un drapeau noir dans le sens des départs sur une partie de la France samedi.

Voici le millésime 2019 du chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens. C'est donc le pire week-end de l'année sur les routes, avec un samedi classé noir. Découvrez les prévisions et les créneaux horaires qui seront un enfer ! On vous donne aussi nos idées d'itinéraires bis.

Le premier radar sonore de France, qui mesure le niveau de bruit des véhicules, a été installé en région parisienne. Un outil qui commence déjà à faire ses preuves outre-Mache mais qui débarque à peine dans l'Hexagone.

Le grand baromètre Aramis Auto / Kantar ausculte chaque année le rapport des Français à l’automobile. A l’occasion du dixième anniversaire de cette étude, Caradisiac vous dévoile en exclusivité la façon dont ces relations ont évolué depuis 2010.

Le constat est simple : l'Europe a les routes les plus sûres au monde. Avec seulement 49 accidents pour un million d'habitants en 2017, le Vieux Continent devance largement les autres continents, même s'il aurait été intéressant d'avoir également le kilométrage moyen des Européens.

Première moitié du chassé-croisé entre juillettistes et aoûtiens. Le drapeau noir n'est toutefois pas encore de sortie. Samedi sera classé rouge, avec une circulation dense dès le réveil et très difficile l'après-midi.

Les 80 km/h apparaissent comme une source inépuisable de tensions. Lundi, des élus dénonçaient l’hypocrisie des pouvoirs publics qui imposent des conditions bien trop restrictives aux départements qui voudraient repasser certaines portions de route à 90 km/h. Interrogé par Caradisiac ce mardi matin, le délégué interministériel à la sécurité routière leur répond qu’il ne comprend tout simplement pas la polémique.