
Dès l’arrivée des beaux jours ça recommence… Un matin voilà notre véhicule recouvert d’une couche jaunâtre plus ou moins tenace. Amené avec le Sirocco, un vent de sud-est venu du Sahara, le sable s’est déposé partout. Reste à lever ce voile sans pour autant abîmer la carrosserie.