
La proposition de loi sur les mini-motos déposée le 30 janvier dernier à l'Assemblée Nationale semble convenir à la FFMC qui avait à plusieurs reprises tenter de faire entendre raison aux municipalités et tribunaux qui avaient condamné certains commerçants sur la base d'interprétations erronées de l'article L321-1 du code de la route.